Ce mardi matin, Stéphane Bern a eu l'immense plaisir de discuter avec Chantal Lauby au téléphone. La comédienne en a profité pour revenir sur l'incroyable succès de Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu ?, dont les deux premiers films réalisés par Philippe de Chauveron avaient totalisé 12,3 millions d'entrées en 2014 et plus de 10 millions en 2019.
Et bonne nouvelle pour les fans de la saga, le troisième volet est confirmé : "Ça y est, Philippe de Chauveron l'a écrit !" confie Chantal Lauby avant de continuer : "Je l'ai lu et j'ai beaucoup rigolé. Je me suis bien amusé, je trouve qu'il arrive à se renouveler avec ce sujet et il arrive à nous emmener ailleurs. On va découvrir toutes les familles et on va s'amuser."
Même si l'ex-Nul ne sait pas encore si elle pourra retrouver tous les comédiens des deux premiers volets, elle en dit plus sur la date du tournage du troisième film : "On aurait bien aimé septembre-octobre mais je pense que ça va être un petit peu tôt. On va essayer d'imaginer un petit bout en novembre et un petit bout l'année prochaine. On va voir comment ça se passe. C'est très compliqué pour les tournages en ce moment..."
Nous vous proposons de (re)découvrir cette séquence en intégralité ci-dessus...
Retrouvez Stéphane Bern et l'équipe de A La Bonne Heure ! du lundi à vendredi de 11h30 à 12h30 pour une émission spéciale confinement.
Pour vous divertir, toutes générations confondues, l'équipe de l'émission vous propose un jeu qui vous emmène des rois aux rois de la pop, des trésors de nos villages aux trésors de la chanson, du cinéma, de tout ce qui fait le patrimoine, et à la rencontre aussi de personnalités qui font l’actualité culturelle.
Quatre nouvelles énigmes au menu ce matin, et quatre chances de gagner des cadeaux ! Pour cela, dès que vous croyez avoir la bonne réponse à l’énigme, envoyez un SMS au 64900 (0,35cts/sms) avec le mot clé "JEU" suivi de votre réponse. Vous passerez peut-être à l’antenne afin de la vérifier avec Stéphane Bern et un invité qualifié.
Si l’on en croit le classement
des entrées, vous êtes nombreux à avoir vu le film dont il faut trouver le titre...
Difficile de résumer son intrigue sans deviner tout de suite. L'accueil qui lui fut réservé à sa sortie
illustre quelque chose de très français : Chez nous le succès est souvent
vu avec une certaine forme de méfiance et il rare qu'il ne soit pas suivi d'une
petite polémique ! C'est d'autant plus cocasse que le long métrage en
question joue, justement, sur les particularismes, voire les petits
"travers" des différentes communautés qui forment notre société. Mais
n’en disons pas trop et revenons sur la genèse de ce triomphe…
Au début des années 2010,
lorsqu'il s'attelle à l'écriture de cette comédie, le réalisateur part d'une
statistique plutôt encourageante qui veut que nous serions, nous français, très
ouverts d'esprit au moment de fonder un foyer. Et le cinéaste sait de quoi il
parle car, bien qu'issus d'un milieu traditionnel et catholique, son frère et
lui ont construit des familles beaucoup plus "originales" si l’on
peut dire. Il est donc bien placé pour traiter le sujet !
Une fois le scénario bouclé, les
producteurs ont la bonne idée de "caster" des acteurs venus de tous
horizons, de mélanger "poids-lourds" de l'humour et jeunes pousses
révélées sur scène ou à la télé. Une rumeur avance même que l'animateur Cyril
Hanouna aurait été approché pour faire partie de l'aventure.
Une fois n'est pas coutume, le
tournage se déroule en grande partie dans le Chinonais, magnifique région que
les Rois de la renaissance aimaient tant. Il paraît que l'ambiance est
tellement bonne sur le plateau que, souvent, les voisins viennent se plaindre
du "tapage" !
Une bonne humeur de tournage
communicative car dès sa première semaine dans les salles, le film prend la
tête du box office ! Aujourd'hui encore il fait partie des sept plus
grands succès de l'histoire, juste derrière Le Corniaud et une suite,
sortie l'an dernier, est venu confirmer cet engouement ! Comme je vous le
disais, il y eut bien quelques esprits taquins qui firent la grimace.. mais le
succès rencontré par ce film, y compris à l'étranger, prouve que l'on
peut rire de tout, tant que cela est fait avec talent et bienveillance !
Réponse : Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu ? de Philippe de Chauveron.
Au téléphone : La comédienne Chantal Lauby qui incarne Marie Verneuil dans la saga !
On dit qu’Emmanuel Macron connaît par cœur toutes ses
chansons et qu’il les joue lui même au piano. Mais qui est ce formidable
compositeur et chanteur ? C’est mon énigme
Son père qui écrivait lui aussi
des chansons pour Edith Piaf et Mouloudji, notamment, est d’origine russe. Sa
mère qui était danseuse est bretonne.
Toute sa jeunesse, il a donc baigné dans la musique. On le met
très jeune au piano et à 12 ans, il obtient un premier prix de solfège au Conservatoire
du 8e arrondissement de Paris
Après avoir échoué au bac, il
quitte le domicile familial et se retrouve, pendant un certain temps, chanteur
de rues, notamment au Sacré Cœur. Il y joue déjà, en s’accompagnant à la
guitare, la première chanson qui sera, quelques temps plus tard, son premier
tube
On le repère et il signe un contrat avec une maison de disque qui
lui permet d’aller enregistrer ses titres en Angleterre.
Sa voix haut placée, son look androgyne
et la qualité de ses mélodies font très vite son succès. Il faudra pourtant qu’il
mette les choses au point, en proclament que contrairement à ce qu’affirment
quelques rumeurs, il est bien un homme …
Sa vie sera ensuite un long exil.
Mais quand il revient et qu’il remonte enfin sur scène, à l’Olympia notamment
en 2016, il comprend que l’amour qui le lie au public n’a jamais cessé... Mais qui est ce chanteur et cet auteur de mélodies incomparables ?
Réponse : Michel Polnareff.
Au téléphone : Le journaliste et animateur Eric Jean-Jean.
Il faut deviner à présent le
nom d’un cinéaste qui a pratiquement commencé sa carrière dans la
clandestinité. C’était en 1957. D’abord, il fait croire qu’il était communiste
et pour pouvoir se rendre en URSS. Ensuite, il bricole une caméra qu’il cache
pendant mon voyage sous son imperméable. Et c’est ainsi que naît son premier
film Quand le rideau se lève film clandestin d’une cinquantaine
de minutes donc qui montre ce qui se passe de l’autre côté du rideau de et qui
sera, comble de la mystification, acheminé
en France par des militants communistes qui pensaient juste faire
plaisir à l’un de leurs camarades.
Cette passion de la caméra, c’est
une sorte de maladie qu’il a attrapée tout enfant lorsque, pour fuir les
allemands, sa mère l’enfermait dans les salles obscures. Il a ainsi grandi au
milieu des images plutôt que parmi les mots. Comme il le dira plus tard : "La
caméra est l’acteur invisible mais principal de tous les films, en tout cas des
miens".
Sa première œuvre de fiction
avait pour titre Le propre de l’homme. C’était, il l’a lui même
reconnu, un vrai navet. Les Cahiers du cinéma avait d’ailleurs dit de lui : "Retenez bien son nom, vous n’en entendrez plus jamais parler".
C’est après un autre échec un
film qui n’est jamais sorti, que désespéré, il roule la nuit vers Deauville. Et
quand il arrive au petit matin, il aperçoit là, sur la plage une femme avec son
enfant. Que faisait-elle sur cette plage déserte ? C’est ce qu’il a
imaginé. Et c’est ainsi qu’est né une œuvre filmée dans l’urgence, sans
vrais moyens, dans laquelle on roule déjà à toute vitesse, on parle de Brésil,
d’enfants et surtout d’amour… Au bout, une palme d’or à Cannes
et le début d’une carrière de cinéaste à nulle autre pareille. Mais qui est justement ce metteur
en scène ?
La réponse : Claude Lelouch.
Au téléphone : Le réalisateur Claude Lelouch.
Enfin, il faut trouver un indice dont vous
entendez parler pratiquement tous les jours mais sans savoir vraiment de quoi
il retourne...
Cet indice a été publié pour la première fois il y a jour pour jour 124 ans, c’est à dire
le 26 mai 1896. On le doit à deux journalistes,
le premier se prénommait Charles, le deuxième Edward. Deux journalistes qui travaillaient dans une agence de presse financière
qu’ils quittèrent pour fonder leur propre société. Celle qui porte leurs noms,
donc… De quoi s’agissait-il ? De
prendre les sociétés les plus représentatives de l’économie américaine et
d’évaluer leur potentiel boursier.
Au début, il y en a 11 dont 9
compagnies de chemin de fer, les plus riches à l’époque, puis 12 et le reste
était relativement simple. On prenait le cours de chaque action, on les additionnait,
on divisait par 12.
Au fil du temps un certain nombre
de sociétés se sont agrégées au calcul. Il y en a maintenant 30 et le calcul
est un peu plus difficile. Au lieu de diviser la somme des cotes par le nombre
de sociétés, on le multiplie par environ 6,78 afin de tenir compte des
opérations financières qui modifient la valeur nominale des titres.
Malgré sa notoriété, cet indice n’est plus guère utilisé
par les professionnels. Ils ont trouvé mieux, un meilleur baromètre pour
indiquer la santé de l’économie et surtout des entreprises américaines. Cette infidélité ne nuit pas à la
popularité de cet indice auquel, d’ailleurs, le président Trump fait
régulièrement référence dans ses tweets. Mais quel est cet indice ?
Réponse : Le Dow Jones.
Au téléphone : Le journaliste économique François Lenglet.
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