"Michel Delpech est mort, et ceux qui l'ont ignoré, méprisé, raillé pendant quarante ans, le découvrent depuis samedi (2 janvier) : c'était bien, c'était chouette", constate Pascal Praud. "On fait l'éloge des phrases simples qu'hier on jugeait simplettes : ma famille habite dans le Loir-et-Cher", poursuit-il. "Paroles de tous les jours, chansons légères : le style Delpech, pour un flirt avec lui. Je regrette que seule la mort décille les bien-pensants. On dirait que ça les gêne de marcher dans la boue", note le journaliste.
"La poésie façon Delpech, sincère et directe. Les mélodies rappellent l'air du temps. Ces jours-là, pour l'après-midi, je t'enlèverai Stéphanie : j'ai toujours les larmes aux yeux quand j'entends la chansons Les divorcés", avoue Pascal Praud. "En 2016, les Stéphanie ont plus de 50 ans, et il n'existe plus de Michel dans les cours de récréation", ajoute-t-il. "J'ai mon rhumatisme qui devient gênant, ma pauvre Cécile j'ai 73 ans. Michel Delpech ne les aura jamais", conclut le journaliste.
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