La chronique de Laurent Gerra du 9 juin 2025

Le maire de Béziers, Robert Ménard, a bien voulu donner son sentiment sur la situation politique au micro de RTL. "Maintenant il faut arrêter les salades ! Les gens, ils sont pas dupes, je les vois moi tous les matins au café en bas de chez moi. Ce qu'ils veulent, c'est du pouvoir d'achat, le calva 2,50€ ! 2,50€ le petit verre de calva du matin c'est pas tenable, surtout pour une famille !", s'exclame l'invité. "Il n'y a quand même pas que ça dans les revendications des classes populaires", remarque Mademoiselle Jade. "Évidemment qu'il n'y a pas que ça. Vous savez à combien il est le pastis dans mon café en bas de chez moi ? 3,90 euros ! Et la Suze, 5 euros la Suze. Et maintenant à Bruxelles, ils veulent nous imposer un supplément olives et cacahuètes ? Non mais on marche sur la tête", s'indigne Ménard.

Le Hellfest, le plus grand festival de France dédié, rappelons-le, à la musique métal, se tiendra à Clisson, en Loire-Atlantique. "Bonjour Philippe Manœuvre", dit Jade. "Hello Miss Jade, le Hellfest, c'est the festival de la métal-musique, le Woodstock des chevelus, la grande kermesse du cheveu gras, avec chaque année 200 groupes, 400 000 entrées payantes, 800 000 litres de bière qui sont ensuite pissés ou vomis dans 500 toilettes préfabriquées, 1500 comas éthiliques et 25 000 tympans crevés. Amazing !", s'exclame-t-il. "D'accord, vous y allez Philippe ?", questionne la présentatrice. "Of course ! J'y serai comme chaque année avec Tonton Zégut, et cette année, on amène Louis Bodin et François Lenglet avec nous, on va leur faire pousser les cheveux ! Ça va être totally insane !", s'écrit-il. 

Patrick Sébastien a annoncé qu'il laissait désormais une large place à ses imitations hommages dans son spectacle intitulé 'Hommages et desserts'. "Je vous connais bien, Patrick. J'ai tout de suite compris que vous étiez déguisé en Paul Prébois, un de vos imitateurs préférés", remarque Jade. "Et toi, tu n'as pas l'air d'avoir les yeux en face des trous. Paul Prébois, il y a un béret. Moi, j'ai une casquette à carreaux et des bretelles", bougonne-t-il. "Ah oui, pardon, d'accord. Alors là, vous êtes Bourvil", s'exclame la présentatrice. Et à l'autre de répondre : "Non ! Si j'étais Bourville, je t'aurais parlé de la tendresse. Je t'aurais dit que vivre sans tendresse, non, non, non... C'est normal que tu me reconnaisses pas, on la reconnaît plus cette époque non plus".

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