Avant de fêter son cinquantième anniversaire sur la scène de l'Olympia de Paris le 6 juillet prochain, Isabelle Boulay a accordé un entretien singulier à RTL. La chanteuse populaire, qui est également la compagne d'Éric Dupond-Moretti, s'est notamment confiée sur les bouleversements de sa vie lorsque ce dernier, alors ténor du barreau, a été nommé ministre de la Justice en 2020.
Habituellement assez discrète sur leur relation, la chanteuse s'est cette fois laissée aller à quelques confidences sur l'homme qui partage sa vie, son "garçon triste" à elle, du nom d'une chanson extraite de son nouvel album En vérité. "Éric, de par le métier qu'il pratiquait avant de devenir ministre de la Justice, a encaissé des coups terribles. C'est quelqu'un qui est extrêmement sensible, mais qui a développé une épaisseur de cuirasse assez importante", déclare ainsi Isabelle Boulay au sujet de l'homme "exceptionnel" qu'elle "admirait même avant de le connaître".
"Quand j'ai appris qu'il allait devenir ministre de la Justice, j'avais l'impression que quelque chose allait nous échapper, mais au contraire je pense que ça nous a encore plus rapprochés", analyse ainsi Isabelle Boulay. Très attachée à sa liberté, la Québécoise assure que cette expérience du pouvoir n'a pas eu d'impact négatif à ce niveau. "Je serais incapable de rester là si je ne me sentais pas libre, je m'enfuirais", explique-t-elle.
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