"Carla Bruni est une artiste tendance surréaliste", estime Pascal Praud

"J'aime Carla Bruni. J'aime sa voix modulée, sotto voce. J'aime cet accent d'Italie qui fuit la réalité comme Arielle Dombasle abolit le quotidien", lance Pascal Praud. "Je ne sais pas faire une division ou une simple multiplication, je n'ai jamais su, je crois...", confie l'épouse de Nicolas Sarkozy dans un long entretien au magazine Elle. "Je peux lui donner, si elle le souhaite, une leçon particulière de mathématiques", propose le journaliste. "J'aimerais tant que Carla me calculât", confie-t-il.

"Alors Carla, un quinquennat c'est cinq ans. Je multiplie un quinquennat par deux, et j'obtient dix ans", calcule Pascal Praud. "Pour la division, demandez à Nicolas : il divise parfois jusqu'à son camp", argue-t-il. "Carla Bruni vit en Chimérie, mais elle connaît le cœur des hommes", poursuit-il.

À propos de la fidélité, l'ex-première dame confie que "si (elle) apprenait que (son) mon mari (la) trompe, (elle) le prendrait très mal, vraiment très mal, c'est certain !". Carla Bruni poursuit : "Je pourrais en arriver à commettre des actes extrêmes comme de lui couper la gorge ou les oreilles pendant son sommeil par exemple...".  Ce qui fait dire au journaliste : "Voilà pourquoi Nicolas Sarkozy ne dort jamais".

"Je suis une bâtarde et j'aime bien les bâtards d'ailleurs", conclut-elle. "Carla Bruni est une artiste tendance surréaliste. Un peu de douceur dans un monde de brutes", clame Pascal Praud.