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Zaz explique ses propos polémiques sur l'Occupation
Zaz répond à la polémique de ses propos sur l'Occupation, déplorant une maladresse de sa part. La chanteuse parlait d'une certaine "légèreté" en évoquant ce pan de l'histoire française.
La chanteuse Zaz a décidé de répondre à la polémique suscitée par ses propos sur l'Occupation. Lors d'une interview accordée au site Pure Charts, la chanteuse avait en effet employé le terme de "légèreté" pour parler de l'Occupation.
Ces propos ont été vivement critiqués sur les réseaux sociaux et c'est donc sur son compte Facebook qu'elle a donc de répondre à la polémique. "Même si je ne suis pas historienne, je sais que cette sombre période de notre histoire n'est ni une période de liberté, ni encore de légèreté, sauf pour les armées d'occupation et les collabos pour lesquels je n'ai aucune sympathie" déclare t-elle.
Je voulais et veux simplement exprimer qu'en dépit de cette situation, la vie continuait.
Zaz
Pour rappel, la chanteuse avait déclaré que la France "se focalise un peu trop sur les choses négatives" avant de donner comme exemple le Paris occupé. "À Paris, sous l'occupation, il y avait une forme de légèreté. On chantait la liberté alors qu'on ne l'était pas totalement. Pour moi, c'est ça Paris.
Une maladresse qu'elle déplore
La chanteuse s'exprimait à l'occasion de la sortie de son nouvel album, Zaz chante Paris, dans lequel elle reprend 13 standards de la chanson française sur le thème de la capitale française. Une maladresse de sa part qu'elle défend : "La succession de ces mots est sans doute maladroite. Je voulais et veux simplement exprimer qu'en dépit de cette situation, la vie continuait. J'ai à l'esprit ce magnifique film La vie est belle."
Zaz déplore par ailleurs la tournure qu'ont pris les événements : "Je regrette que certains esprits polémistes aient cru bon les relayer de manière malsaine, plutôt que d'affûter leur talent de plumitif à l'encontre de prises de position plus douteuses, ou de sympathisants extrémistes de tous bords dont je ne fais pas "Paris".
