François Hollande s'est prêté au jeu traditionnel de l'interview du 14 juillet. Pendant 45 minutes, le président de la République a répondu aux questions de Gilles Bouleau et David Pujadas, depuis l'Élysée. Il en a profité pour revêtir le costume de protecteur de la France et réitéré son intention de baisser la courbe du chômage. Le Président a assuré qu'une baisse d'impôts pour 2017 ne pouvait être envisagée qu'en cas de retour de la croissance.
Le chef de l'État a également répondu à la polémique qui a suivi le meeting d'Emmanuel Macron en précisant que si les règles n'étaient pas respectées, il ne pouvait pas rester au sein du gouvernement. Au cours de son intervention télévisée, François Hollande n'a pas oublié d'envoyer quelques attaques à son prédécesseur, Nicolas Sarkozy.
"Ceux qui n'ont pas tenus leurs promesses sont ceux qui ont dû me précéder parce que, en ce qui me concerne, j'ai tenu mes engagements. Mais il n'y a qu'un résultat et celui qui compte le plus pour les Français, c'est le chômage. il détermine tout", explique-t-il. Un peu plus tard, il réitère son attaque : "J'ai hérité d'un pays qui avait 40° de fièvre et on se posait la question de savoir s'il ne fallait pas l'hospitaliser. La dette publique avait augmenté de 600 milliards d'euros. Elle était passée de 60% à 90% de la richesses nationale. Vous pensez que la crise s'est terminée le jour où je suis arrivée ?"
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