Jusque là, l'hémicycle était étonnamment calme. Même l'opposition, qui l'avait pourtant chahutée lors de son discours de politique générale, semblait murée dans un silence respectueux. C'est là, au moment, de conclure son discours de présentation du plan d'économies du gouvernement pour les trois années à venir, que Manuel Valls a choisi de hausser le ton.
Le Premier ministre a martelé qu'il assumait "les choix qui sont faits, les choix de la cohérence, du courage, de la croissance et de l'emploi", dans une anaphore à mi-chemin entre le "J'accuse" de Zola et le "Moi, Président" de François Hollande.
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