Le journal de 18h : le braquage de Kim Kardashian devient politique
La star de télé-réalité a été victime d'un braquage, tôt dans la matinée du lundi 3 octobre.
Dans la nuit de dimanche 2 à lundi 3 octobre, Kim Kardashian a été agressée dans le 8e arrondissement de Paris au 7 de la rue Tronchet, dans un des luxueux appartements de l'hôtel particulier. Cinq personnes cagoulées et portant de faux brassards de police ont fait irruption avant de la tenir en joue et de lui dérober pour 9 millions d'euros de bijoux. La star de télé-réalité a ensuite été ligotée avant que les braqueurs ne prennent la fuite.
Kim Kardashian a quitté la France juste après avoir été entendue par la police. Le sujet de son agression a immédiatement été repris par une partie de la classe politique française. Anne Hidalgo, la maire de Paris, a ainsi tenu à rappeler qu'il s'agissait d'un "acte rare survenu dans un domaine privé". Nathalie Kosciusko-Morizet, pour sa part, a estimé qu'il y avait "une urgence générale sur la sécurité à Paris".
S'agissant de l'enquête, il semble que les braqueurs étaient au courant de la localisation de la célébrité américaine et des biens dont elle disposait dans l'appartement qu'elle occupait. Les policiers de la BRB dépouillent toutes les images disponibles et recherchent des empreintes sur place.
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