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Jean-Pierre Chevènement, le 24 août 2012
Crédit : PIERRE ANDRIEU / AFP
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"Il y a à Saint-Denis par exemple 135 nationalités et il y en a une qui a quasiment disparu", a évoqué Jean-Pierre Chevènement lundi 29 août sur France Inter. Des propos qui ont été immédiatement interprétés comme évoquant la nationalité française. Certains détracteurs ont même accusé l'ancien ministre d'accréditer la thèse du "grand remplacement" défendue par une partie de l'extrême droite.
Dans les colonnes du Figaro, dans l'édition du mercredi 31 août, il se défend : "Je parlais évidemment de la classe ouvrière française". Il n'en reste pas là. "La plupart de ces critiques ont un arrière-plan politique : elles procèdent d'une philosophie communautariste que j'ai toujours combattue en tant que républicain laïc", poursuit-il.
Sur ses propos recommandant la "discrétion" aux musulmans, il se justifie également. "Je n'ai recommandé 'la discrétion' que dans l'espace public de débat, qui est un espace commun à tous les citoyens" et développe qu'il s'agit également d'une formulation utilisée par la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) pour se dédouaner. Des polémiques qui sont pour lui des "procès d'intention fielleux" faits à son encontre par "quelques snipers de plume et de micro", dont il est "la cible depuis très longtemps".
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