"J'en veux au ministre de l'Intérieur. La politique de l'émotion a conduit à une réponse totalement inadaptée. Il a suspendu l'utilisation des grenades offensives, jetant par la même occasion la suspicion sur les forces de l'ordre alors que c'est un accident extrêmement triste, mais isolé",a déclaré la députée du Front national, ce lundi 3 novembre au micro de France Info.
"Il aurait fallu à l'inverse dissoudre les groupuscules d'extrême gauche", a-t-elle assuré, sans préciser qui elle désignait. "Ce sont ces groupuscules très violents qui mettent en danger sciemment leurs militants, qui mettent en danger les forces de l'ordre", selon la nièce de la présidente du Front national.
Ce sont ces groupuscules très violents qui mettent en danger sciemment leurs militants.
Marion Maréchal-Le Pen
Relancée sur des "groupes d'extrême droite dont certains sont liés au Front national", elle s'est insurgée : "Quels groupes ?", "De quoi parlez-vous ?"
"Je condamne tous les groupes violents, bien évidemment, qui agressent les forces de l'ordre, qui cassent les centres-villes". "Ils doivent être dissous mais manifestement, le gouvernement, pour des raisons clientélistes de copinage, ne veut pas aller dans cette voie-là alors que cela aurait dû être la réponse juste", a affirmé la benjamine de l'Assemblée nationale.
Le gouvernement, pour des raisons clientélistes de copinage, ne veut pas aller dans cette voie-là.
Marion Maréchal-Le Pen, au sujet de la dissolution de groupuscules violents
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