1. Accueil
  2. Actu
  3. International
  4. Fusillades aux États-Unis : La "haine" n'a pas sa place, déclare Trump
2 min de lecture

Fusillades aux États-Unis : La "haine" n'a pas sa place, déclare Trump

Après les deux fusillades qui ont eu lieu ce dimanche, le président Donald Trump a assuré que la "haine" n'avait pas sa place aux États-Unis.

Donald Trump, le 22 juillet 2019
Crédit : NICHOLAS KAMM / AFP
Marie Sasin & AFP
Je m'abonne à la newsletter « Infos »

Donald Trump a assuré dimanche que la "haine" n'avait pas sa place aux États-Unis, au lendemain de deux fusillades ayant fait 29 morts, qu'il a imputées à un "problème de maladie mentale". "Il n'y a pas de place pour la haine dans notre pays", a déclaré le président américain depuis le New Jersey dans sa première apparition télévisée depuis les drames.

"Il faut que ça s'arrête. Ça dure depuis des années", a-t-il poursuivi en référence aux tueries de grande ampleur qui frappent régulièrement les États-Unis. "On a déjà fait beaucoup mais peut-être qu'on doit faire davantage", a-t-il dit.

Les autorités soupçonnent un motif raciste ayant poussé un homme blanc de 21 ans à ouvrir le feu dans un hypermarché d'El Paso, à deux pas de la frontière mexicaine, tuant 20 personnes samedi, dont six Mexicains. Le dirigeant républicain a été la cible directe de critiques de ses adversaires démocrates après la fusillade d'El Paso, qui l'ont accusé d'alimenter la montée de l'intolérance avec sa rhétorique anti-immigrés.

"Le président en personne promeut le racisme et la suprématie blanche", a écrit sur Twitter la sénatrice Elizabeth Warren, l'une des favorites de la primaire démocrate. "La suprématie blanche, comme toute autre forme de terrorisme, est un fléau qui doit être détruit", a tweeté la propre fille du président Ivanka Trump avant la prise de paroles de son père.

À lire aussi

Le milliardaire républicain s'est lui, gardé d'utiliser ce terme, renvoyant l'explication du drame à un argument fréquemment avancé dans les rangs républicains. "Il y a aussi un problème de maladie mentale dans ces deux cas", a ajouté le milliardaire républicain. "Ces gens souffrent d'une maladie mentale très grave", a-t-il assuré.

À Dayton, dans l'Ohio, neuf personnes ont perdu la vie. Le tireur, également un homme blanc, âgé cette fois de 24 ans, a été abattu. La police ne peut, à ce stade, donner de raisons pour expliquer son geste. Dans sa courte intervention, le locataire de la Maison Blanche a tenu à remercier les forces de l'ordre, intervenues en moins d'une minute après le début de la fusillade. Donald Trump a indiqué qu'il ferait une annonce demain matin, sans plus de détails.

La rédaction vous recommande
À écouter aussi

L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail.

Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien

S’abonner à la Newsletter RTL Info
En Direct
/

Bienvenue sur RTL

Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur

Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.

Bienvenue sur RTL

Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio

Je crée mon compte