Un ralliement in extremis ! À quelques heures de la fin de la COP26, la France s'engage à son tour à ne plus financer de projets liés aux énergies fossiles à l'étranger. Paris rejoint ainsi une coalition d'une vingtaine de pays, dont les États-Unis ou l'Allemagne. Une décision qui réjouit Aurore Mathieu, responsable des politiques internationales au Réseau action climat (RAC), qui reste cependant prudente.
"Il faut attendre de voir les conditions de mise en œuvre concrète au niveau national" tempère-t-elle, rappelant que la France "fait partie des derniers" États à rejoindre cette coalition. Aurore Mathieu rappelle également que tout l'enjeu des dernières heures de cette conférence est d'inscrire ces déclarations dans le texte final.
Pour autant, la membre du RAC regrette que "les plans de réduction mis en place par les États ne sont pas suffisamment ambitieux" alors que "tout va se jouer dans la prochaine décennie".
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