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La SNCF présente le TGV L'Océane, avec la crise d'Alstom en toile de fond
ÉCLAIRAGE - La SNCF a dévoilé son nouveau TGV mercredi 15 septembre, en pleine crise Alstom.
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SNCF : Guillaume Pépy a présenté le TGV Océane mercredi 14 septembre 2016Crédits : GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP -
En 1ere classe, la SNCF a misé sur des sièges alliant "confort" et "fonctionnalité"Crédits : Capture d'écran / SNCF
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En 1ere classe, une prise sera disponible au niveau de la tabletteCrédits : Capture d'écran / SNCF
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Les wagons et les sièges en 2nde classeCrédits : Capture d'écran / SNCF
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La SNCF a revisité le coin nurserie dans ce TGVCrédits : Capture d'écran / SNCF
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Deux poubelles seront disponibles pour inciter au tri sélectifCrédits : Capture d'écran / SNCF
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Le wagon bar fait également peau neuve dans ce nouveau TGVCrédits : Capture d'écran / SNCF
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Ce wagon bar se veut plus convivial et chaleureuxCrédits : Capture d'écran / SNCF
Hasard du calendrier, Guillaume Pepy, le président de la SNCF, présentait mercedi 14 septembre le dernier modèle de TGV de la société, à la gare Montparnasse. Le TGV L'Océane, destiné à la ligne à grande vitesse (LGV) Paris-Bordeaux qui ouvrira en juillet 2017 et permettra de rejoindre Paris en 2h05, sera fabriqué par Alstom. Mais le dirigeant a catégoriquement refusé de s'exprimer à propos de l'entreprise en difficulté.
Plus confortable, et avec une plus grande capacité d'accueil, le TGV L'Océane pourra transporter 556 passagers, en duplex. Les nouveautés du train seront ressenties dans le confort : des couleurs moins criardes, de la place ménagée sous les sièges pour entreposer ses bagages ou des espaces dédiés pour changer les couches des enfants, annonce Le Parisien. Autre évolution importante : toutes les places seront équipées de prises USB et électriques, avec le wi-fi accessible. Les tarifs en revanche, ne seront pas connus avant le début de l'année 2017.
40 trains commandés auprès d'Alstom en 2013
En 2013, la SNCF avait passé commande de 40 TGV, pour un montant de 1,3 milliard d'euros. À l'époque, Guillaume Pepy avait confié que cet achat n'était au départ pas "intuitif à 100%" mais avait permis d'éteindre un conflit avec Alstom, mécontente d'avoir vu la précédente commande d'Eurostar passée auprès de son concurrent allemand Siemens.
