C’est la préoccupation majeure des français pour la campagne présidentielle : le pouvoir d’achat. Le prix de l’énergie s’envole, l’électricité, le carburant, l’inflation devrait se poursuivre. Dans ce contexte, RTL a décidé de s’intéresser au marché du hard-discount, qui prend de plus en plus d’ampleur.
10% de part de marché, voilà ce que pèsent aujourd’hui Lidl et Aldi, une progression de 3 points en 5 ans à peine. Mais la percée des discounter ne s’arrête pas à ces deux géants, d’autres enseignes débarquent en promettant des prix toujours plus bas. Comme Supeco, le low-cost de Carrefour que dirige Éric Bouin. 26 magasins, presque tous ouvert l’an dernier. "Le seul segment qui nous manquait, c'est celui du discount et c'est chose faite maintenant", dit-il.
Autre nouveau discounter, le danois Normal qui multiplie les ouvertures, ou encore Costco. Gary Swindells gère l’expansion du groupe américain en France et la stratégie, est de casser les prix en transformant le supermarché en entrepôt de ventes en gros. "On garde très peu de références donc on est capable de négocier des bons prix", dit-il. Mais la plus grosse progression de ces dernières années, c’est celle d’Action, fort de plus de 650 magasins avec le rachat de Leader Price.
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