Mercredi 4 juin, Philippe Caverivière faisait face à Bruno Retailleau et a ironisé sur le fait que le ministre de l'Intérieur menace de quitter le gouvernement si on lui demandait de porter un projet de loi instaurant la proportionnelle législative. "C'est plus un gouvernement, c'est Les feux de l'amour" a lancé l'humoriste.
Avant de poursuivre en imaginant un teaser : "Après avoir été réprimandé pour les débordements de samedi soir, Bruno laisse parler son cœur et accuse les barbares de briser son idylle avec la France. Alors que François, son séduisant patron, souhaite instaurer la proportionnelle, Bruno refuse, retire son alliance et menace de le quitter. Les portes claquent aussi fort que la main de Brigitte sur le visage d'Emmanuel Macron. Le torchon brûle à Matignon comme une vulgaire Clio sur les Champs-Élysées un lendemain de victoire".
Philippe Caverivière a également réagi aux violences en marge du sacre européen du PSG, que Bruno Retailleau a qualifié de "barbaries". "Vous étiez en charge du dispositif de sécurité, vous étiez un peu le Luis Enrique du bordel. Vous avez quand même mis 5.400 flics sur le terrain et pourtant... Il y a un très gros problème en défense ! Alors, pardon Bruno, il y a eu un gros oubli de votre part. Pourquoi ne pas avoir mobilisé Brigitte Macron pour gifler les casseurs ? Je peux te dire qu'avec elle, ça aurait filé droit".
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