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Valérie Trierweiler raconte sa vie à l'Elysée dans un livre

Découvrez les sujets qui seront abordés dans l'émission "Les auditeurs ont la parole".

Valérie Trierweiler et François Hollande en visite officielle à New Delhi, le 15 février 2013
Valérie Trierweiler et François Hollande en visite officielle à New Delhi, le 15 février 2013
Crédit : AFP / BERTRAND LANGLOIS
Les Auditeurs ont la Parole du 03/09/2014
00:27:17

Valérie Trierweiler publie un livre sur sa vie à l'Elysée

L'ex-première dame Valérie Trierweiler publiera demain un livre rédigé dans le plus grand secret, intitulé "Merci pour ce moment", et relatant sa vie à l'Elysée aux côtés de François Hollande. 
"Tout ce que j'écris est vrai. A l'Elysée, je me sentais parfois comme en reportage. Et j'ai trop souffert du mensonge pour en commettre à mon tour", annonce d'emblée Valérie Trierweiler sur la couverture de l'ouvrage reproduite dans Paris-Match dont elle est une collaboratrice. 
"Rédigé dans le plus grand secret", ce livre de 320 pages "est à la fois un cri d'amour et une lente descente aux enfers, une plongée dans l'intimité d'un couple. Deux personnages et rien d'autre: Valérie et François", écrit l'hebdomadaire. 
Valérie Trierweiler y donne, selon le magazine, sa version de l'histoire "depuis l'éblouissement jusqu'à la cruauté de la rupture. Elle appelle un chat un chat". 
C'est la première fois qu'une première dame "raconte vraiment neuf ans d'une relation minée par la jalousie et le pouvoir (...) Une histoire d'amour... et de désespoir", ajoute le journal où l'ex-première dame se révèle une "amoureuse passionnée, possessive, folle de cet homme qu'elle admire, qui la fait rire et la déstabilise délicieusement". 
L'Elysée n'était "pas au courant" de la parution du livre a déclaré hier l'entourage du président François Hollande, sollicité  par l'AFP. 


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Légère baisse des naissances en France, des parents de plus en plus âgés

Malgré une légère baisse, la natalité en France a confirmé en 2013 sa bonne santé, restant au-dessus des 800.000 naissances, indique l'Insee mercredi, qui voit s'accentuer le recul de l'âge des mères au moment de l'accouchement. 

En 2013, 811.510 bébés sont nés sur le territoire français (hors Mayotte), dont 781.621 en métropole, selon une étude de l'Institut national de la statistique. C'est 9.500 naissances de moins qu'en 2012 (-1,2%), mais bien plus  qu'au milieu des années 1990. 

Avec un taux de fécondité de 1,99 par femme, la France demeure parmi les pays les plus féconds d'Europe, et ce malgré la crise et le chômage. Il s'agit d'une spécificité culturelle favorisée par une politique familiale qui rend les  variations de la fécondité moins sensibles à la conjoncture économique. 

Autre constante relevée par l'Insee: les naissances restent plus tardives. La tendance est observée depuis le milieu des années 1970 avec un report progressif de l'âge au premier enfant (autour de 28 ans aujourd'hui). 

Alors que les femmes accouchaient en moyenne à 26 ans dans les années 70, elles le faisaient en 2013 à 30,3 ans en moyenne. 

À écouter aussi


Les françaises font-elles leur premier enfant trop tard ?

Invités du débat de RTL Midi : Pr François Olivennes, gynécologue-obstétricien, auteur de "N'attendez pas trop longtemps pour avoir un enfant" paru chez Odile Jacob en 2008 et Anne-Cécile Mailfert, porte-parole d'"Osez le féminisme !".


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Il y a école aujourd'hui !

Des millions d'écoliers doivent pour la première fois aller en classe ce matin dans le cadre  de la réforme des rythmes scolaires, une obligation à laquelle menacent de se soustraire quelques parents et quelques dizaines de maires. 
 
Cette réforme, qui chamboule les habitudes horaires des enfants, parents et professeurs des écoles, rétablit la cinquième matinée de classe supprimée par la droite en 2008, généralement le mercredi matin, quelquefois le samedi. Elle vise à mieux distribuer les 24 heures de classe hebdomadaire et introduit des activités périscolaires facultatives, à la charge des communes. 
 
Parents, écoliers et enseignants ont trouvé des portes d'écoles cadenassées pour le premier mercredi de classe à  Yerres (Essonne), dont le député-maire Nicolas Dupont-Aignan (opposition), conteste la réforme des rythmes scolaires, a constaté un journaliste de l'AFP. 
 
Une quinzaine de communes ont "refusé d'ouvrir leurs écoles" mercredi et l'Etat va donc saisir la justice voire "se substituer aux maires", a annoncé la  ministre de l'Education nationale Najat Vallaud-Belkacem. 

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