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Tanguy Pastureau : le pénis à interrupteur, un rêve accessible
REPLAY - Un britannique de 43 ans, qui avait perdu son membre viril dans un sordide accident, a bénéficié pour la première fois au monde d'une greffe de pénis bionique.
Tanguy Pastureau
Crédit : RTL
La médecine et la science ne cessent de faire des progrès. Il y a le bras bionique, un bras métallique articulé contrôlé par le cerveau, donc la maxime "pas de bras pas de chocolat" est désuète. La jambe bionique, même principe, et ce sans champignons entre les orteils, qui sont en métal, par contre une sortie à la piscine et on a le membre qui rouille.
Bref, si l’on perd une partie de soi, parce qu’on a joué à colin-maillard dans le jardin tandis que papi passait la débroussailleuse, on peut se la faire remplacer par un membre bionique. Ainsi François Bayrou est-il sans doute en train de remplacer les adhérents du Modem qui se sont tous taillés par une armée d’hommes bioniques, à qui il a juste appris à dire 2 trucs, "Bayrou est formidable" et "Bayrou Akbar", en gros, ce qu’il aime entendre.
Nouveauté 2015, vient d’être lancé le pénis bionique, pour les hommes qui un soir ont été confondu par leur partenaire avec un sandwich à la dinde.
Le premier homme à en avoir un est un anglais, Mohammed Abada, qui avait perdu le sien dans un accident de voiture (si la prévention routière faisait un spot expliquant qu’on peut perdre son buzuk en Fiat, tous les types rouleraient à 30 km/h sur l’A6, totalement emballés dans des airbags).
Mohammed avait 6 ans, si bien qu’étant privé de pénis toute sa jeunesse, il restait impassible devant tout poster de Samantha Fox et a pu se concentrer sur ses études. Seul souci, ce pauvre homme, qui a maintenant 43 ans, n’a jamais vu le loup, ni même un renard ou le bichon pelé de Bernadette Chirac, puisque pas de pénis, pas de délices.
