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Quand le déni rend le deuil impossible
Le déni peut aider à se préserver. Mais lorsqu'il se prolonge, l'acceptation est très difficile.
Caroline Dublanche
Crédit : PADILLA Thomas et RUET Stephane / AGENCE 1827 / RTL
Divorcée depuis 2007, Anne-Marie ne s'est jamais remise en couple. Active et profitant de la vie, elle ne concrétise pas ses rencontres. Un ami lui a dit qu'elle pouvait faire peur aux hommes. Que doit-elle changer chez elle ?
Tatou a une fille de 9 ans, qu'elle a eu peu de temps après avoir rencontré le père. Aujourd'hui, tout va très bien entre tatou, sa fille et son père. Mais ses amis lui ont reproché de ne pas avoir eu sa fille dans un cadre normal et équilibré. Suite à ces réflexions, Tatou culpabilise.
Le mari de Brigitte est décédé il y a peu de temps des suites d'une longue maladie. Selon la volonté de son mari, leurs deux derniers enfants n'étaient pas à l'enterrement. Depuis le début de la maladie de leur père, ils n'ont donné plus aucun signe de vie, malgré les appels du pied de Brigitte. Cette dernière doit dorénavant assumer cette volonté, même si elle garde espoir quant à des retrouvailles.
Le fils de Viviane n'est plus avec sa compagne. Malgré la très bonne entente qu'elle entretenait avec son ex-belle-fille, Viviane ne peux plus voir ses petits-enfants. Elle ne peut même pas passer par son fils, qui sombre petit à petit dans l'alcool depuis sa rupture.
Dans "Parlons-Nous" entre 22h et 0h30, la psychologue Caroline Dublanche recueille les confidences des auditeurs de RTL.
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