1. Accueil
  2. Actu
  3. Société
  4. Pour dénoncer la "taxe tampon", des serviettes "ensanglantées" collées autour de l'Assemblée nationale
1 min de lecture

Pour dénoncer la "taxe tampon", des serviettes "ensanglantées" collées autour de l'Assemblée nationale

EN IMAGES - Pour dénoncer le rejet de la baisse de la TVA sur les tampons et serviettes hygiéniques, le collectif féministe "Les Vulves enragées" a mené cette action aux alentours de l'Assemblée nationale.

  • Des serviettes hygiéniques "ensanglantées" autour de l'Assemblé nationale
    Crédits : Les vulves enragées
  • Des serviettes hygiéniques "ensanglantées" autour de l'Assemblé nationale
    Crédits : Les vulves enragées
  • Des serviettes hygiéniques "ensanglantées" autour de l'Assemblé nationale
    Crédits : Les vulves enragées
  • Des serviettes hygiéniques "ensanglantées" autour de l'Assemblé nationale
    Crédits : Les vulves enragées
  • Des serviettes hygiéniques "ensanglantées" autour de l'Assemblé nationale
    Crédits : Les vulves enragées
  • Des serviettes hygiéniques "ensanglantées" autour de l'Assemblé nationale
    Crédits : Les vulves enragées
Claire Gaveau
Je m'abonne à la newsletter « Infos »

Dans le cadre du projet de loi de finances 2016, quarante-cinq députés avaient déposé un amendement visant à supprimer la "taxe tampon". Non reconnus comme des produits de première nécessité, les serviettes et tampons hygiéniques sont aujourd'hui sous le coup d'une TVA de 20% et non 5,5% comme les préservatifs, par exemple. Malgré la bataille menée par Catherine Coutelle, l'amendement a été rejeté d'une voix par l'Assemblée nationale.

Un rejet qui a provoqué le mécontentement de certains collectifs féministes, dont "Les Vulves enragées". Quelques jours après cette annonce, l'association a décidé de manifester en collant des tampons et serviettes hygiéniques, badigeonnés d'un produit rouge, sur les murs de l'Assemblée nationale. Une action symbolique pour dénoncer le refus des députés.

Si "Les Vulves enragées" sont restées relativement discrètes, l'action a été relayée par un autre collectif féminin de Sciences Po, "Garces", qui publie notamment l'intégralité du communiqué. "Combien de temps encore allons-nous devoir avoir honte de notre corps ? En ne reconnaissant pas les protections hygiéniques comme des produits de première nécessité, nos député(e)s méprisent nos quotidiens et nous obligent, une fois de plus, à faire comme si nos règles n’existaient pas", dénonce le collectif. 

La rédaction vous recommande
À lire aussi

L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail.

Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien

S’abonner à la Newsletter RTL Info
En Direct
/

Bienvenue sur RTL

Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur

Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.

Bienvenue sur RTL

Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio

Je crée mon compte