Pendant les pics de pollution de l'hiver dernier, les Franciliens ont respiré jusqu'à 30 fois plus de microparticules qu'en temps normal. Selon une étude CNRS, marcher dans Paris équivalait à rester dans une pièce de 20m2 avec huit cigarettes allumées en même temps.
"Les grosses particules s'arrêtent dans la gorge et le nez. Les petites vont jusqu'aux poumons et les alvéoles et les plus petites vont dans le sang. En passant dans le sang, elles peuvent provoquer des maladies cardio-vasculaires", explique Jérôme Giacomoni, le créateur du ballon Générali.
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