Plus de 120 parties civiles font face à partir d'aujourd'hui et pour un mois à cinq prévenus poursuivis pour homicides involontaires après la tempête Xynthia qui a coûté la vie à 29 personnes le 28 février 2010 à La Faute-sur-mer (Vendée).
Les deux premières semaines du procès devant le tribunal correctionnel des Sables d'Olonne vont être consacrées au rappel des faits, aux expertises et surtout aux témoignages d'une cinquantaine de victimes. Ces dernières vont raconter ce qu'elles ont vécu la nuit du drame, lorsque les flots gonflés par la tempête ont débordé des digues et englouti des lotissements, piègeant les habitants dans leur sommeil.
"Ça va être une épreuve assez compliquée, on sera là pour se soutenir les uns les autres", confie Renaud Pinoit, président de l'Avif, l'association des victimes.
Ces dernières veulent comprendre comment 29 personnes ont pu trouver la mort dans des lotissements, où certaines maisons venaient d'être construites, dans une zone très restreinte surnommée plus tard la "cuvette mortifère".
Une autre question porte sur le dispositif d'alerte et de prévention, car nombreux sont les habitants qui ne savaient pas qu'ils habitaient dans une zone à risque, et personne ne les avait prévenus la veille du drame qu'une alerte rouge avait été déclenchée.
Ce n'est qu'après la catastrophe que les alertes "vagues-submersion" que l'on connaît aujourd'hui ont été généralisées et que les normes de construction ont été durcies sur les zones exposées aux risques de submersion marine.
Plus de 4 ans après la tempête Xynthia, a-t-on vraiment su
en tirer les leçons ?
Invités du débat de RTL Midi : Benoît Hartmann, directeur de France Nature Environnement et Bruno Retailleau, Président du Conseil Général de Vendée,
sénateur UMP de la Vendée.
À la veille d'un vote de confiance plus incertain que jamais pour
Manuel Valls, le pouvoir exécutif doit faire face à une semaine sociale
chargée.
Outre la grève redoutée des pilotes Air France aujourd'hui, les huissiers de justice, une première, et les inspecteurs
d'auto-écoles doivent également cesser le travail dès aujourd'hui.
Les notaires
sont attendus dans la rue mercredi.
Pilotes, huissiers, notaires : grèves indécentes ? La rédaction de RTL vous invite à voter et donner votre avis à la question du jour !
La décapitation d'un nouvel otage a renforcé la détermination de la communauté internationale à éradiquer les jihadistes de l'Etat islamique (EI) en formant une vaste coalition où le rôle de chacun sera discuté aujourd'hui à Paris lors d'une conférence.
Les représentants d'une vingtaine d'Etats, dont les chefs de la diplomatie russe Sergueï Lavrov et américaine John Kerry, se réunissent à Paris pour définir le rôle de chacun dans la coalition internationale voulue par Washington.
La conférence sera présidée par les chefs d'Etat français François Hollande et irakien Fouad Massoum.
Selon les Etats-Unis, plus de 40 pays sont prêts à participer, d'une manière ou d'une autre, à cette alliance. L'Australie a notamment annoncé hier sa participation avec le déploiement de 600 militaires aux Emirats.
Après la décapitation de David Haines, le président américain Barack Obama a réaffirmé sa volonté de travailler avec "une large coalition de nations" pour "anéantir la menace" que constitue l'EI.
La décapitation de ce Britannique de 44 ans est la troisième d'un Occidental en un mois, après celle de deux journalistes américains également enlevés en Syrie, James Foley et Steven Sotloff.
Deux Français sur trois (63%) estiment que leur pouvoir d'achat a baissé au cours des douze derniers mois et une majorité d'entre eux (58%) anticipe un nouveau recul au cours de l'année à venir, selon une étude publiée lundi.
Face à cette situation, piocher dans son épargne reste la solution privilégiée (48%), devant un changement des habitudes de consommation (36%) et le recours à un crédit (7%), souligne cette enquête de l'institut CSA pour le groupe de crédit à la consommation Cofidis.
Les personnes interrogées considèrent qu'il leur manque en moyenne 464 euros par mois "pour vivre confortablement", sans pour autant que soit explicitée cette notion.
La proportion de personnes déclarant avoir été à découvert au moins une fois dans l'année écoulée progresse de 8 points par rapport à la dernière vague de l'étude et s'élève désormais à 47%. Ils sont aussi pratiquement 1 sur 5 (18%) à voir leur compte bancaire plonger dans le rouge chaque mois.
Parmi les postes de dépenses qui font les frais des arbitrages des consommateurs, les loisirs (53%) et l'habillement (53%) arrivent en tête. L'alimentation (21%) et l'énergie (17%) sont également citées.
Cette étude a été menée auprès d'un échantillon représentatif de la population française de 1.003 personnes âgées d'au moins 18 ans, du 26 au 29 août.
Le Medef propose de supprimer des jours fériés et de pouvoir déroger à la durée légale du travail ou au salaire minimum, dans son projet visant à créer un million d'emplois en France, dévoilé dimanche par Les Echos.
Le document d'une cinquantaine de pages produit par l'organisation patronale, intitulé "Comment relancer la dynamique de création d'emplois en France?", liste une série de mesures qu'elle juge nécessaire de mettre en oeuvre pour stimuler l'emploi dans le pays.
"Chaque mesure, qu'elle soit d'ordre social, fiscal et parfois très sectorielle, est quantifiée en termes de créations d'emplois attendues", précise le journal économique Les Echos sur son site internet.
Le document doit être présenté mercredi au cours d'une conférence de presse.
Dans une réaction à l'AFP, un porte-parole du Medef a toutefois tenu à préciser qu'il s'agissait d'"éléments de travail" qui "ne correspondent pas exactement aux propositions que fera le Medef dans les prochains jours".
Pour créer 1% de croissance et 100.000 emplois, le Medef propose de supprimer deux jours fériés sur 11, selon Les Echos.
Il espère aussi de 50.000 à 100.000 emplois sur cinq ans en dérogeant au Smic pour certaines catégories de demandeurs d'emploi, et sur trois ans en remontant les seuils sociaux.
Nous attendons vos commentaires et vos avis. A vous de jouer !
Bienvenue sur RTL
Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur
Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.
Bienvenue sur RTL
Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio
Je crée mon compte