Le journal de 12h30 : deux "papys loto" condamnés lancent un appel aux dons
REPLAY - Les deux retraités doivent payer près de 900.000 euros au fisc pour avoir organisé des lotos illégaux. Ils assurent n'en avoir tiré aucun profit.
Deux retraités de 75 et 84 ans ont été condamnés à Poitiers à régler près de 900.000 euros à l'administration fiscale pour avoir organisé des lotos jugés illégaux. Une peine confirmée en appel et par la Cour de cassation. Mais ces "papys loto", qui contestent avoir fait des profits, ne désarment pas. Ils lancent désormais un appel aux dons sur Internet pour pouvoir payer la facture, comme le rapporte La nouvelle République.
À écouter également dans ce journal
- Les policiers dans la rue. Ils manifestent, ce mercredi 14 octobre, devant le ministère de la Justice pour dénoncer la dégradation de leurs conditions de travail.
- Joué-Les-Tours (Indre-et-Loire) : quatre hommes ont été interpellés ce mercredi dans l'enquête sur l'attaque du commissariat menée au nom de l'islam le 20 décembre 2014, au cours de laquelle l'assaillant avait été tué.
- Seine-Saint-Denis : deux complices présumés de Sid Ahmed Ghlam ont été placés en garde à vue ce mercredi, soupçonnés de l'avoir aidé à préparer son projet d'attentat contre des églises à Villejuif (Val-de-Marne) en avril dernier.
- Air France : la ministre de l'Écologie Ségolène Royal estime que la compagnie doit suspendre les 2.900 suppressions de postes annoncées.
- Jean-Yves Le Drian, tête de liste PS aux régionales en Bretagne, quittera sa fonction de ministre de la Défense s'il est élu.
- Israël : reportage à Jérusalem-Est, alors que la ville est plus divisée que jamais, au lendemain d'une nouvelle flambée de violences - trois Israéliens et deux Palestiniens ont été tués.
- Arabie Saoudite : le bilan de la bousculade de La Mecque s'alourdit à 1.633 morts.
- Affaire Bygmalion : Nicolas Sarkozy n'accorde aucune importance aux accusations de Jérôme Lavrilleux, selon son entourage. L'ex-directeur de campagne de 2012 affirme, dans un entretien à L'Obs, que le patron des Républicains ne pouvait pas ignorer le système de fausses factures et qu'il "ment".
