"Aux soldes et la galette, nous étions tous conviés", déclame Pascal Praud
REPLAY / ÉDITO - Le journaliste évoque ces deux repères immanquables du début d'année.

"Les soldes et la galette. J'avais passé Noël, j'étais à découvert. Arrivent les soldes : besoin d'un pull-over. Moins 50% : c'est une bonne affaire. Hélas mon banquier est un atrabilaire : 'Arrêtez de claquer, vous n'avez plus une thune ! Vous êtes dépensier, et vous recherchez la lune'", déclame en vers Pascal Praud. "J'avais passé Noël, j'avais pris trois kilos. Arrive la galette : j'y vais, au galop. Frangipane ou brioche ? Les deux sont caloriques. À force de croquer, me voilà une barrique", poursuit le journaliste.
"Qu'importe ma silhouette, j'aime mon pâtissier. Il me réconcilie avec mon banquier", ajoute-t-il. "J'avais passé Noël, c'était le 6 janvier. Aux soldes et la galette, nous étions tous conviés", entonne Pascal Praud. "Ainsi 2016, comme 2015, commence : petites habitudes. Voilà la France avance. Je n'irai pas aux soldes, je n'en ai plus besoin. J'ai la fève tiré. Pour moi, c'est plus que bien !", conclut-il.