La COP21 a été lancée officiellement ce lundi 30 novembre au Bourget, près de Paris, par François Hollande, le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon et le ministre des Affaires étrangères français et président de la conférence sur le climat Laurent Fabius. Si Alain Duhamel ne peut pas assurer qu'il se passera quelque chose d'essentiel durant ces 12 jours, il affirme en revanche "qu'il doit se passer" quelque chose. "
L'enjeu de cette conférence est réellement planétaire. C'est probablement l'enjeu, à terme, le plus important depuis la Seconde Guerre mondiale
Alain Duhamel
Les premiers effets du réchauffement climatique sont déjà en train de se faire ressentir, et "avant la fin du siècle, si on a pas pris les mesures nécessaires, des dizaines d'États disparaîtront sous les flots. Des villes comme Shanghaï ou New York n'existerait plus" prévient l'éditorialiste.
Selon lui, dans l'idéal, il faudrait qu'un prix mondial du carbone soit fixé, même s'il sait que cela ne se fera pas. "On peut néanmoins espérer que la quasi-totalité des États se mettent d'accord, qu'il n'y ait pas un mouvement d'humeur de Vladimir Poutine, que l'Inde ne freine pas, que l'Arabie saoudite ne se sente pas perdante" explique Alain Duhamel. Il faut également imposer des clauses qui imposent une vérification périodique et dégager de l'argent. Pour la France, dont le rôle est éminent, cette COP21 est un pari. Si un accord est trouvé, on dira que la France a été "inspirée", dans le cas contraire on dira qu'elle a été "présomptueuse"
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