1 min de lecture

Attentats à Paris : la justice refuse de lever la vidéosurveillance 24 heures sur 24 pour Salah Abdeslam

Salah Abdeslam, seul jihadiste encore en vie des commandos du 13 novembre, avait réclamé la suspension de la vidéosurveillance permanente effective dans sa cellule.

Salah Abdeslam est incarcéré à la prison de Fleury-Merogis (Essonne).

Crédit : DSK / POLICE NATIONALE / AFP

Clémence Bauduin & AFP

Je m'abonne à la newsletter « Infos »

La justice administrative a rejeté, vendredi 15 juillet, la requête de Salah Abdeslam, seul jihadiste encore en vie des commandos du 13 novembre. Incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, il demandait la suspension du dispositif de vidéosurveillance permanente de sa cellule au nom du respect de sa vie privée.
 
Dans leur ordonnance, consultée par l'AFP, les trois juges des référés du tribunal administratif de Versailles soulignent qu'il n'y a pas d'urgence à statuer, expliquant notamment que la décision de filmer Salah Abdeslam en permanence a été "précédée d'une procédure contradictoire". 

L'ordonnance précise par ailleurs que les attentats de novembre "nécessitent la prise de dispositions exceptionnelles en vue de s'assurer contre les risques" d'évasion ou de suicide du détenu.

La rédaction vous recommande
À lire aussi

L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail.

Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien

S’abonner à la Newsletter RTL Info