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À Mexico, des immeubles se sont effondrés après un séisme de magnitude 7,1.
Crédit : YURI CORTEZ / AFP
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Un puissant séisme de magnitude 7,1 a secoué le Mexique mardi 19 septembre.
Mexico, la capitale du pays, a été touchée, plusieurs bâtiments se sont effondrés, notamment une école où 21 enfants sont morts et une vingtaine
d'autres sont portés disparus. Le dernier bilan fait état d'au moins 150 morts.
Ironie du sort, un exercice de simulation a eu lieu quelques heures avant le
drame. Ce séisme intervient 32 ans jour pour jour après le puissant tremblement
de terre de 1985 qui avait fait près de 10.000 morts.
Clément, un expatrié français vivant à Mexico, raconte sur RTL ce qu'il a
vécu au moment du tremblement de terre : "J'ai compris tout de suite que c'était
un séisme. J'ai cru que l'immeuble allait s'écrouler, des trottoirs
sont craquelés devant chez moi, comme s'ils s'étaient ouverts, une école a
été détruite. Les personnes dans mon immeuble sont restées dans la cour, tout le
monde préfère rester groupé, en raison de la crainte de répliques. L'atmosphère
est tendue."
- INTERNATIONAL - Le discours de Donald Trump à la tribune de l'ONU devrait
laisser des traces dans les relations diplomatiques. Le président américain,
très véhément envers la Corée du Nord, a notamment promis de "détruire
totalement" le pays de Kim Jong-Un, surnommé "rocket man".
- POLITIQUE - Emmanuel Macron, en visite aux États-Unis, a accordé un entretien à la chaîne CNN. "Je crois en la démocratie, mais la démocratie ce
n'est pas la rue. Si je respecte ceux qui manifestent, je respecte aussi les
électeurs français, et ils ont voté pour le changement", a-t-il notamment
déclaré.
- POLITIQUE - Le Parti socialiste a pris la "décision de principe de mettre
en vente" son siège de la rue de Solférino à Paris, pour des raisons financières
et symboliques. Conséquence des revers électoraux du PS.
- POLITIQUE - Au Front national, les fortes tensions entre Marine Le Pen et
Florian Philippot alimentent la chronique, notamment à Hayange où les militants
ne comprennent pas ce "jeu de gosses". Jean-Marie Le Pen, lui, a demandé sur RTL le maintien de Florian Philippot mais en abandonnant la vice-présidence du
parti.
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