Marseille-Évian : l'intervention litigieuse de Morel sur Ramirez
REPLAY INTÉGRAL – Au sommaire : l'arbitre du match entre Marseille et Évian aurait-il dû accorder un penalty aux visiteurs ? Rien ne va plus entre Edinson Cavani et Laurent Blanc. La CAN 2015 est-elle sans intérêt ?
On refait le match, avec :
- Francesca Antoniotti, journaliste à RTL,
- Erik Bielderman, journaliste à L'Équipe Magazine,
- Bernard Lions, journaliste à L'Équipe,
- Dave Appadoo, journaliste à France Football.
Marseille-Évian : l'intervention litigieuse de Morel sur Ramirez
Cet après-midi, Marseille a affronté à domicile le club d'Évian pour le compte de la 23ème journée de Ligue 1. Les locaux n'ont assuré que le service strict minimum en l'emportant (1-0), grâce à un penalty transformé par André-Pierre Gignac (49ème minute).
Toutefois, les hommes de Marcelo Bielsa n'auraient pas pu faire mieux qu'un nul sans une aide providentielle. Et pour cause, les Phocéens auraient pu concéder, eux aussi, un penalty, à la suite d'une intervention litigieuse de Jérémy Morel sur David Ramirez en première période. Malheureusement pour les Savoyards, l'arbitre de la rencontre ne leur a pas accordé ce tir au but.
Frank Schneider, l'arbitre du match aurait-il dû siffler ce penalty en faveur de l'équipe d'Évian ?
Pour Dave Appadoo, l'arbitre aurait dû accorder ce penalty pour Évian Thonon Gaillard. Selon lui, il y a bien eu faute sur l'intervention du Marseillais Jérémy Morel sur le Savoyard David Ramirez.
Pour le coup, je pense qu'il y a penalty sur l'intervention de Jérémy Morel sur David Ramirez.
Dave Appadoo, journaliste à France Football
Erik Bielderman, quant à lui, estime que la rencontre n'a pas eu le même type d'arbitrage en première et deuxième mi-temps. En première période, le match a eu droit à un arbitre qui, dans le doute, s'abstenait de siffler un penalty. Or, il n'agissait pas de la sorte durant la seconde.
La ligue 1 est déjà rentrée dans la phase de fin de saison où les arbitres ont peur de fausser le championnat. Ils ne sifflent que les penaltys évidents pour les clubs en tête et ne le font pas obligatoirement pour les formations du bas de tableau.
Erik Bielderman, journaliste à L'Équipe Magazine
