La deuxième étape alpestre risque de faire très mal aux jambes et avoir des répercussions sur le classement général. Même si ses 177 km ne seront pas les plus longs, ils devraient être parmi les plus pénible de cette édition. En effet; outre le col du Lautaret qui arrivera très vite, il faudra passer le col de l'Izoard, l'un des mythe de Grande Boucle.
Les délais ne sont pas très longs, sur une étape relativement courte
Laurent Jalabert
Laurent Jalabert analyse les trois difficultés du jour, à commencer donc par le Lautaret. Le consultant de RTL juge celui-ci "pas très dur mais très long (34km à 4%) qui permettra à la course de se lancer même si le peloton est fatigué". Une fatigue qui rend compliqué une arrivé dans les temps.
"Les délais ne sont pas très longs, sur une étape relativement courte", confirme Jalabert. Si la course est nerveuse, il pourrait y avoir des dégâts. À peine la descente du Lautaret terminée qu'il faudra attaquer la grande difficulté du jour. "L'Izoard c'est un gros morceau (hors catégorie), il va falloir le digérer avec 19 km à 6%", commente Laurent Jalabert. Une ascension que la pluie pourrait rendre encore plus difficile.
Pour terminer, il faudra encore monter vers Risoul. "Une montée assez roulante comme celle vers Chamrousse, mais un tremplin idéal pour aller chambouler un classement général", résume l'ancien champion de France de cyclisme. Une dernière difficulté que les précédentes auront rendues plus compliquée encore.
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