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Le lutteur français Yannick Szczepaniak aux JO de Pékin en 2008.
Crédit : CURUCHET/DPPI-SIPA
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L'ancien lutteur français Yannick Szczepaniak a l'impression de sortir d'un
long tunnel, il vient d'être déclaré médaillé olympique, huit ans après les Jeux
Olympiques ! "Un étrange phénomène auquel de plus en plus de sportifs risquent
d'être confrontés", écrit L'Équipe. Après les révélations sur un dopage organisé
en Russie ces dernières années, athlète disqualifié, la médaille revient au
suivant. Aux Jeux de Pékin en 2008, Yannick Szczepaniak a terminé au pied du podium,
4e, la médaille en chocolat, la pire... Il se souvient : "Toute l'attention, les
sollicitations sont concentrées autour des médaillés, ce qui est normal. Toi, tu
sors par la petite porte, tu prends ton taxi. Tu es tout seul chez toi, ton
téléphone ne sonne pas." Et l'ancien lutteur raconte sa reconversion, le
concours de professorat de sport. "J'ai été en galère pour ma titularisation.
Avec une médaille, un poste se serait automatiquement ouvert à la
fédération."
La médaille, il va l'avoir maintenant, huit ans après, et la prime qui va
avec, 13.000 euros. Il a reçu le courrier officiel du ministère des Sports. Il
sourit. "La nuit a été longue, ça ne remplacera pas un podium à Pékin où
s'étaient déplacés mes parents et ma femme, mais c'est touchant." Sa femme a
décidé d'encadrer la médaille et la famille de la lutte a fêter ça avec du
champagne, cuvée 2008 !
Une maison donne des cauchemars à l'Autriche. "La maison hantée de Braunau", écrit ce matin Le Figaro. C'est dans cette maison qu'est né Hitler le 20 avril
1889, sa famille n'y est resté que quelques mois, mais cela suffit à rendre ce
bâtiment très encombrant. La maison est vide, plus de locataire, c'est ça le
danger ! Elle peut susciter toute sorte d'intérêts, s'inquiètent les
Autrichiens. L'année dernière, le parti d'extrême droite hongrois a organisé une
excursion en bus, les étapes font frémir : Nuremberg, Dachau et Braunau... Le
parcours évoque un tourisme d'extrême droite. La ville natale d'Hitler ne veut
pas devenir comme Predappio en Italie qui vit naître Mussolini et qui attire le
nostalgique du fascisme.
Alors le parlement autrichien vient d'exproprier l'héritière des lieux. Mais
ça ne règle rien. Que faire de la maison ? La raser ? Les historiens le
déconseillent. "On nous reprocherait de vouloir effacer l'histoire". Alors
qu'est-ce qu'on en fait ? Un espace d'échange pour les jeunes Européens, une
caserne de pompiers, un magasin social... Aucun projet ne l'emporte. La cacher
alors. Quelqu'un a proposé d'entourer la maison de fumée pour empêcher qu'elle
soit photographiée...
Derrière le sapin se cache la filière horticole, 140 millions
d'euros de chiffres d'affaires en décembre. Plus de 5 millions vendus chaque
année pour Noël. Et les Français achètent leur sapin de plus en plus tôt. Plus
de 40% des ventes se font la première semaine de décembre. Pour la première fois
cette année, 20.000 sapins sont label rouge, gage de qualité. Le sapin ça se
bichonne. Sa vie commence en pépinière, puis il est replanté en pleine terre au
bout de quatre ans et régulièrement élagué pour obtenir la forme conique
maximale. Il est coupé au bout de 6 à 10 ans selon la taille voulue. Celui qui
trône dans la cour de l'Élysée cette année a été planté il y a 22 ans dans la
région d'Auxerre, il fait 11 mètres de haut.
Le petit âne en photo ce matin dans Le Parisien n'est pas celui de la crèche.
C'est un petit âne marron d'Afrique, domestique, et pourtant menacé.
L'association écologiste "Robin des Bois" raconte que la peau de l'âne est très
prisée en Chine. Bouillie, elle donne une gélatine auxquels les Chinois
attribuent toutes sortes de vertus pour rendre les hommes plus forts et les
femmes plus belles. Les peaux se négocient en Afrique aujourd'hui entre 140 et
170 euros. Au Burkina Faso, il s'est exporté l'an dernier 1.000 peaux d'ânes, on
est passé à 65.000. Les autorités locales estiment que le dernier âne du pays
aura disparu dans les cinq ans qui viennent...
À six jours de Noël, tous à vos planques ! C'est à lire aussi dans Le Parisien ce matin. Vous savez bien que le père Noël a fait son stock de cadeaux. Il faut bien qu'il les cache quelque part. Page 9 du Parisien, quelques conseils, un plan de maison à l'appui. Les planquer sous le lit de la chambre des parents, mauvaise cachette ! Dans les valises dans la penderie : bonne cachette. Derrière les livres de la bibliothèque, mauvaise cachette ! Tout en haut de l'armoire près des affaires d'été : bonne cachette. Au fond du panier à linge sale sous un drap : bonne cachette ! Dans les tiroirs de la chambre, mauvaise cachette. Le grenier, la cave, le garage, partout où il y a déjà du bazar, des araignées et où il fait noir, bonne cachette ! Un carton de plus de ou de moins... Bref, une maison hantée par les cadeaux, en attendant la nuit de Noël, ce sera long !
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