M. Pokora sur RTL : "Si l'OM n'est pas dans le top 3 en fin de saison, c'est un échec !"

M. Pokora a dévoilé cette semaine Qui on est, préambule à son neuvième album qui sortira le 4 novembre. Le chanteur s'est longuement livré à RTL : la célébrité, ses débuts, sa femme et ses enfants, sa future tournée monstre qui approche. L'occasion aussi d'évoquer des passions plus discrètes du chanteur...

Ses fans le savent mais le grand public n'est peut-être pas tout à fait au courant : M. Pokora est un passionné de football. L'Olympique de Marseille est son équipe fétiche et le chanteur suit avec assiduité les évolutions du groupe. Sur Twitter, M. Pokora a même expliqué qu'il commençait à avoir confiance en Igor Tudor, le nouvel entraîneur de l'OM.  

Sur la préparation, je me suis dit 'wow, c'est très brouillon' mais je pense qu'il n'avait pas encore toutes les pièces qu'il lui fallait pour mettre en place son système, analyse M. Pokora. Et là, j'ai vu, depuis deux ou trois matchs, par session, il y a des premières mi-temps très abouties. Il y a beaucoup d'énergie, de la projection vers l'avant. Le foot qu'on aime. Beaucoup d'occasions", s'enthousiasme l'artiste.

"Je pense que ça y est. Il a l'effectif qu'il lui faut pour mettre en place son système et sa manière de jouer. Je pense que les mecs commencent à adhérer, ils se procurent beaucoup d'occasions. Par contre, ça va demander beaucoup d'énergie. Je ne sais pas s'ils vont pouvoir jouer sur les deux tableaux Ligue 1 et Ligue des champions et pouvoir assumer les deux. À un moment, l'effectif risque d'être un peu juste

Le sommet sinon rien

Pour M. Pokora, l'OM doit être dans le top 3 en France. "Top 3, c'est un minimum. On ne peut pas être deuxième l'année précédente, avoir une équipe renforcée - même si on perd des joueurs, on a quand même considérablement renforcé l'effectif à des postes clés - si l'OM n'est pas dans le top 3 en fin de saison, c'est un échec." 

Le chanteur qui vit en famille en Californie une bonne partie du temps suit toujours de très près la Ligue 1. "Quand je me mets en Wi-Fi, ça ne passe pas aux États-Unis. Mais si je me mets avec mon téléphone, là je peux regarder mes matchs et je les projette sur la télé. Mais je suis tout. J'ai la télé française. Quand je suis là-bas je regarde tout en décalé."

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