Valérie Trierweiler refait parler d'elle. L'ancienne première dame, relativement discrète ces dernières semaines, sort de son silence pour attaquer les dispositions de la loi Macron concernant le travail dominical. Et c'est une nouvelle fois par le biais de Twitter que la journaliste décide d'exprimer son mécontentement.
"Ma mère travaillait le dimanche, elle n'avait pas le choix. Que ces dimanches étaient tristes. Nous attendions son retour pour vivre", écrit-elle dimanche 15 février. Depuis l'accession de son ancien compagnon à l'Élysée, les tweets de Valérie Trierweiler font régulièrement la une et alimentent les polémiques.
La première en date concerne les élections législatives de juin 2012, au lendemain de la victoire présidentielle de François Hollande. La nouvelle première dame décide de soutenir la candidature dissidente d'Olivier Falorni aux dépens de celle, officielle, de Ségolène Royal. "Courage à Olivier Falorni, qui n'a pas démérité, qui se bat aux côtés des Rochelais depuis tant d'années dans un engagement désintéressé", tweete-t-elle alors.
Ce ne sera pas la dernière fois que l'un de ses messages suscitera l'embarras de l'Élysée. En avril 2014, alors que la France et le Mexique vont tenter de renouer leurs liens, après la libération de Florence Cassez, la journaliste choisit d'appeler la diplomatie française à venir en aide à Maude Versini, une mère de famille privée de ses enfants.
À l'image de son attaque anti-loi Macron, Valérie Trierweiler n'hésite pas à prendre publiquement position pour défendre une cause qui lui tient à cœur, telle que le sort des lycéennes nigérianes enlevées par Boko Haram, ou défendre ses opinions politiques. C'est dans cet esprit qu'elle attaque Nicolas Sarkozy concernant sa volonté supposée d'en finir avec le mariage pour tous, voté durant le quinquennat en cours ou qu'elle retweete le message d'un journaliste offusqué par l'obtention par Steeve Briois du prix du Trombinoscope.
Mais Valérie Trierweiler use également de Twitter pour... tenter d'éteindre les polémiques. Au lendemain des rumeurs annonçant qu'elle se répand en insultes à l'encontre de Julie Gayet, l'ancienne première dame joue la carte de l'humour et publie un message reprenant une photo "renversante" de sa fête d'anniversaire.
C'est une nouvelle fois par Twitter que Valérie Trierweiler démentira la rumeur concernant une bousculade l'ayant obligée à appeler la police à Barbes.
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