Il faut bien remplir son agenda ! Depuis que le prince Harry n'est plus un membre officiel de la famille royale, il peut pleinement contrôler son emploi du temps et consacrer son énergie et son incontestable influence à des causes qui lui tiennent à cœur. Il y a quelques jours, nous apprenions que le prince Harry avait accepté un poste de direction au sein d'une entreprise de coaching basée à San Francisco, un an après son emménagement en Californie avec son épouse Meghan Markle. En tant que "responsable en chef de l'impact", le duc de Sussex aura pour mission de "promouvoir l'importance qu'il y a à entretenir sa santé mentale de manière préventive".
Mais ce n'est pas tout. Manifestement, il veut s'adresser à la source même du problème de sa vie : la presse. Harry va travailler avec le think-tank Aspen Institute pour lutter contre les fake news. Il fait désormais partie des 18 nouveaux membres d’une commission qui pendant six mois "étudiera comment combattre le défi urgent des fausses informations et de la désinformation aux États-Unis". Cette commission est présidée par la célèbre journaliste Katie Couric, l’expert en cybersécurité Chris Krebs et le militant des droits civiques Rashad Robinson. Le prince Harry, fils de Diana, aura certainement beaucoup à dire sur le comportement des tabloïds et des médias en général et l'impact qu'ils peuvent avoir sur certaines personnalités.
Dans un communiqué relayé par l’AFP, le prince Harry dit "avoir hâte" de contribuer à trouver des solutions à "l'avalanche de désinformation" d'aujourd'hui, "qui affecte notre capacité en tant qu'individus mais aussi en tant que sociétés à réellement et clairement comprendre le monde dans lequel nous vivons". "Je crois qu'il s'agit d'une question humanitaire", a-t-il ajouté. Le duc de Sussex travaillera avec le maître des échecs russe Garry Kasparov et la présidente de la fondation Quadrivium Kathryn Murdoch, la belle-fille de Rupert Murdoch, le propriétaire du Sun...
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