Julie a aujourd'hui 40 ans. Elle a passé plus de trente ans à se taire. Tout commence, raconte Paris Match, le 15 mai 1977. Julie est séparée de sa mère à la naissance, le père de celle-ci la juge trop jeune pour s'occuper d'un bébé, elle avait 15 ans à l'époque.
Quelques années plus tard, à 8 ans, comme le font tous
les enfants de cet âge et après une discussion avec un camarade de classe adopté
en Asie, Julie commence à poser des questions à ses parents. 'Êtes-vous vraiment
mes vrais parents ?' Très vite ils prennent alors la décision de tout lui dire.
Non seulement elle a été adoptée, mais ils connaissent l'identité de ses
parents. Une star, Claude François, et Fabienne, l'inconnue des Flandres, une
toute jeune femme que "Cloclo" a connue dans des studios de radio.
Une vérité lourde à porter, Julie raconte d'ailleurs qu'elle n'osait pas trop
écouter ses chansons à la maison. Une copine lui avait fait une cassette mais
elle avait peur de faire du mal à ses parents adoptifs. À 18 ans, elle rencontre
Fabienne, sa mère biologique, écrit à Marc et Claude junior, ses deux frères,
mais pas de réponse. Elle attendra 2012 pour faire un test ADN. "Il m'a
confirmé, dit-elle, ce que je savais déjà."
Le 14 mars de la même année sort au cinéma le film Cloclo. Julie fonce le
voir. Pour elle, c'est un choc : "J'avais parfois l'impression d'une sorte
d'effet miroir. Je me tenais cramponnée à mon siège tandis que je découvrais des
traits de ma personnalité. Je me retrouvais dans certaines de ses angoisses, ses
chagrins, la solitude, la peur d'être abandonnée."
Aujourd'hui, si elle parle, "c'est pour comprendre", dit-elle, d'où elle vient, pour mieux connaître aussi son père mort quelques mois après sa naissance. C'est à lire dans Paris Match, témoignage que vous pourrez également découvrir après-demain sur Paris Première dans un documentaire sur Claude François qui sera diffusé à 20h50.
Dans l'Obs cette semaine, une clinique pour soigner ceux qui nous soignent.
On l'ignore souvent mais les professionnels de santé font partie des professions
les plus exposées au burn-out. Un sur deux estime être ou avoir été concerné
d'après des études menées en 2015 et 2016. Souvent la plupart ne consultent pas,
par peur, par honte aussi pour ceux qu'ils sont justement censés soigner.
Résultat, certaines cliniques ont créé des parcours de soins qui leur sont
spécifiquement réservés.
C'est le cas près d'Avignon où Sophie est hospitalisée depuis trois semaines.
Cette généraliste de 43 ans, mariée, mère de trois enfants, en était arrivée au
point où elle ne se reconnaissait plus, rabrouant certains malades. La faute à
des cadences infernales, "à un système aussi", dit-elle.
Elle pense notamment à ces agents de la sécurité sociale qui viennent faire un bilan de ses actes tous les trois mois. "Ils nous montrent des courbes, raconte-t-elle, ce qu'on prescrit, ce que prescrivent nos confrères, des moyennes sur tout le territoire. Comme si on avait tous la même patientèle. C'est absurde mais ça finit par influer sur notre pratique." "Il m'est arrivé, ajoute-t-elle, de ne pas délivrer d'arrêt maladie alors que ce serait justifié, tout ça parce que je risque de me faire taper sur les doigts par des gens qui n'y connaissent rien."
Autre coup de gueule ce jeudi 8 février, celui du patron de Ferrero,
propriétaire de Nutella. Pour la première fois depuis la super promo à
70% accordée par Intermarché et qui avait provoqué des scènes d'émeutes,
Jean-Baptiste Santoul prend la parole. À lire dans Le Parisien, et il est vent
debout. Jamais il n'a donné son accord, dit-il, contrairement à ce qu'évoquait
le patron d'Intermarché dans le JDD. Il a même demandé au groupe d'y renoncer.
Le patron de Ferrero annonce par ailleurs qu'il part à l'assaut d'un nouveau
marché, les glaces. Il va bientôt lancer des glaces Kinder, "elles arriveront
sur le marché au mois d'avril", dit le quotidien Les Échos.
La neige continue de s'afficher dans vos journaux. Débat autour du vrai faux
manque d'anticipation, on en parle même à l'étranger. Le Washington Post publie
de magnifiques photos de Paris enneigé, très jolies cartes postales. Les
commentaires des internautes sont moins flatteurs. "Quoi ? 15 cm de neige et ils
sont paralysés ? Mais c'est ridicule", dit par exemple l'un d'eux.
Les internautes américains mais aussi du monde entier se passionnent depuis cette nuit pour une autre image, une vidéo de Donald Trump qui monte à bord d'Air Force One. Avec le vent, sa calvitie est brusquement révélée au grand jour. Les images ont été vues plusieurs dizaines de milliers de fois. Pour l'instant, pas de réaction de l'intéressé, pourtant si prompt à réagir sur Twitter. On pourrait lui suggérer de poster une chanson de "Cloclo", tiens au hasard, Le mal aimé.
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