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Hollande et Julie Gayet "passent un certain nombre de nuits ensemble", assure la directrice de Closer
Les photos prises par "Closer" pour appuyer la thèse d'une liaison entre François Hollande et l'actrice Julie Gayet prouvent aussi des failles dans la sécurité du président, selon la directrice du magazine.
François Hollande à l'Élysée le 3 janvier 2014.
Crédit : AFP / PHILIPPE WOJAZER
Les photos prises par le magazine people Closer pour appuyer l'hypothèse d'une relation amoureuse entre François Hollande et l'actrice Julie Gayet montrent "certaines failles" dans la sécurité du président, assure la directrice de la rédaction Laurence Pieau sur RTL.
Il n'y a pas de bisou
Laurence Pieau, directrice de "Closer"
On voit aussi "le président accompagné de son garde du corps qui vont de façon régulière dans un pied-à-terre près de l’Élysée retrouver Julie Gayet", explique Laurence Pieau. "Il n'y a pas de bisou", admet la journaliste mais "on en conclut qu'ils passent un certain nombre de nuits ensemble. C'est quelque chose qui s'est fait sur quelques jours, du 30 au 31 décembre et 31 décembre au 1er janvier".
Hollande "déplore" et "examine des suites judicaires"
Dans son édition sortie ce vendredi 10 janvier, Closer publie un article de sept pages sur la présumée relation amoureuse entre le chef de l’État et l'actrice âgée de 41 ans, qui l'a soutenu lors de sa campagne électorale. Le magazine publie notamment des photos sur lesquelles on voit le président de l'actrice sortir séparément du même endroit.
"Il y a un motard qui le dépose, il y a un garde du corps qui inspecte l'immeuble avant qu'il y rentre", raconte la directrice de Closer au micro de RTL. "Mais au moment où on a fait les images il n'y a aucune voiture banalisée dans la rue, quand il en repart, il repart sur un scooter, conduit par un motard dans des artères qui sont quand-même très fréquentées. En termes de sécurité on est en droit de penser qu'il y a certaines failles", a-t-elle affirmé.
S'exprimant en son nom propre et non pas en tant que président de la République, François Hollande "déplore profondément les atteintes au respect de la vie privée auquel il a droit comme tout citoyen" en ajoutant qu'il "examine les suites, y compris judiciaires, à apporter à cette parution" de Closer.
