Valérie Trierweiler va rentrer en France, ce mercredi 29 janvier. Une fois son avion posé à l'aéroport de Roissy, dans la matinée, l'ancienne première dame sera raccompagnée dans son appartement du XVe arrondissement parisien par un chauffeur de l’Élysée, escortée par son garde du corps. Puis ce sera tout.
L'ancienne compagne de François Hollande n'aura plus accès aux avantages de la République et reprendra une vie de citoyenne lambda. En tant que journaliste, d'abord, puisqu'elle conservera son poste à Paris Match, dans lequel elle tient une chronique hebdomadaire.
Elle a perdu le statut mais a conservé son influence
Son directeur de cabinet
De sa vie de première dame, Valérie Trierweiler souhaite conserver son engagement humanitaire et espère pouvoir honorer les projets initiés lors de son passage à l’Élysée. "Elle a perdu le statut mais a conservé son influence", estime son directeur de cabinet.
Mais Valérie Trierweiler craint toutefois ce retour en France, qui sera forcément scruté. "Je risque d'être pourchassée par les photographes, estime-t-elle. J'espère que ça se calmera vite". Si elle appréhende la suite des événements, la journaliste tient le coup, pour le moment : "Aujourd'hui, je me sens bien mais dans un mois, je n'en sais rien".
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