Dans le cadre de la gestion du Coronavirus, Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, a annoncé des mesures "fortes", "puissantes". Une réaction qui fait bondir les blouses blanches, pour qui l'épidémie est "hors de contrôle".
Les chiffres de la crise sanitaire, tout le monde les a, à commencer par le gouvernement. Et pourtant, pour l'instant, pas de nouveau serrage de vis. Tout, sauf le confinement strict. Emmanuel Macron s'accroche a sa stratégie de riposte graduée.
Demain, jeudi 25 mars, trois nouveaux départements, peut-être même un peu plus, seront soumis à des mesures de freinage supplémentaires. Les trois nouveaux départements à connaître des restrictions pourraient être le Rhône, la Nièvre et l'Aube.
C'est l'expression à la mode. L'exécutif ne veut plus parler de restrictions, ce qui serait trop anxiogène. Le président refuse de renvoyer les Français chez eux. Les 16 départements déjà sous cloche ne subiront pas de tour-de-vis supplémentaire, et Gabriel Attal promet bientôt des effets, mais tout cela est jugé insuffisant par le personnel soignant.
En réalité, la crainte au sommet de l'État, c'est que les Français ne respectent plus les règles si le tour-de-vis est trop fort. "On ne peut pas être derrière chaque entreprise ni derrière chaque citoyen", peste un conseiller. Comprenez ici : l'État ne peut pas tout. Le message est le suivant : aux entreprises de faire appliquer le télétravail, et aux Français de ne pas s'inviter à diner chez des amis pendant le week-end. Les rassemblements, à l'extérieur, sont limités à six personnes.
Belgique - le pays ferme toutes ses écoles, à l'exception des classes de maternelle. Quant aux commerces jugés "non essentiels", ils ne pourront accueillir de clients que sur rendez-vous, pendant plusieurs semaines.
Allemagne - le gouvernement a renoncé à imposer de nouvelles mesures sanitaires plus restrictives pour le long week-end de Pâques. La chancelière, Angela Merkel, a présenté ses excuses aux citoyens. "Une erreur doit être appelée une erreur et, plus important encore, elle doit être corrigée et si possible à temps." "Je sais que cette proposition a provoqué une incertitude supplémentaire, je le regrette profondément et pour cela je demande pardon à tous les citoyens."
Football - La France affronte l'Ukraine ce mercredi 24 mars, dès 20h45, au stade de France. Ce match, qui s'inscrit dans le cadre des qualifications pour la Coupe du monde de 2022, au Qatar, sera aussi le dernier rassemblement des Bleus avant l'Euro cet été.
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