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Législatives 2024 : Macron promet "d'agir jusqu'en mai 2027"

Une semaine jour pour jour avant le premier tour, la campagne des législatives se poursuit ce dimanche 24 juin. Suivez les dernières informations sur RTL et RTL.fr.

Emmanuel Macron lors d'un discours à Paris le 12 juin 2024.

Crédit : STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

La rédaction numérique de RTL

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Ce que nous savons pour l'instant
  • Les élections législatives anticipées de 2024 se tiendront les dimanches 30 juin et 7 juillet en France hexagonale, La Réunion, Mayotte, Nouvelle-Calédonie, Wallis et Futuna. Elles se tiendront les samedis 29 juin et 6 juillet dans les autres territoires ultramarins.
  • Invité du Grand Jury ce dimanche, Gabriel Attal a affirmé que "le péril qui est devant nous, c'est celui d'un péril économique et social que ce soit extrême droite ou extrême gauche. Une broyeuse à classe moyenne."
  • Dans une lettre publiée dans la presse quotidienne régionale, Emmanuel Macron a promis ce dimanche "d'agir jusqu'en mai 2027", admettant que "la manière de gouverner doit changer profondément" à l'issue du scrutin.
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Merci de l'avoir suivi. Rendez-vous demain matin pour un nouveau live consacré aux élections législatives.

Xavier bertrand : Éric ciotti avec le rn, "c'est le choix d'aller à la gamelle"

Invité de BFMTV ce dimanche, Xavier Bertrand a fustigé la décision d'Éric Ciotti de s'allier au Rassemblement national. "C'est le choix d'aller à la gamelle", selon lui. "Tout cela rajoute au dégoût qu'inspire la politique à de nombreux concitoyens".

Jean-luc mélenchon fustige la lettre d'emmanuel macron

jospin met en garde contre le "projet souterrain" du rn

L'ancien Premier ministre socialiste Lionel Jospin a mis en garde ce dimanche contre le "danger" que représente selon lui le Rassemblement national, porteur d'un "programme de surface" pour ces élections législatives qui masque un "projet profond ou souterrain".

Revenant sur la stratégie d'Emmanuel Macron de renvoyer dos à dos l'extrême droite et l'alliance de gauche "Nouveau Front populaire", Lionel Jospin a affirmé sur BFMTV que "le danger" venait "davantage du Rassemblement national".

"Le Front national (devenu RN, ndlr) va à ces élections avec ce que j'appellerais un programme de surface, couvert par la respectabilité", a développé celui qui a dirigé le gouvernement de 1997 à 2002.

yaël braun-pivet estime que la coalition n'est plus une option, mais une "obligation"

L'objectif : "préserver la France qu'on aime". La présidente sortante de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, qui avait plaidé auprès du président pour une coalition avant la dissolution, estime que celle-ci est désormais "une obligation", et que l'exercice du pouvoir à l'issue des législatives sera nécessairement plus "parlementaire".

"Je pense qu’on est en capacité de former une coalition de partis responsables, républicains qui ont envie que le navire France puisse avancer", à déclaré ce dimanche à l'AFP Yaël Braun-Pivet, en marge d'un déplacement de campagne au Vésinet (Yvelines).

LIONEL jospin : "mélenchon n'est pas la solution"

Invité de BFMTV ce dimanche, Lionel Jospin s'est exprimé à propos de la future nomination du Premier ministre. Selon lui, "Jean-Luc Mélenchon n'est pas la solution".

"Je fais confiance aux futurs élus du Nouveau Front populaire pour choisir une homme ou une femme qui sera capable de rassembler et ensuite de gouverner en écoutant les autres", a-t-il ajouté.

macron lance un appel aux abstentionnistes : "votez"

Toujours dans sa lettre publiée dans la presse quotidienne régionale, le président a lancé un appel aux abstentionnistes, en leur demandant de ne pas avoir "peur". "Ne vous résignez pas. Votez".

macron se fait l'avocat de sa "troisième voie"

Face au Rassemblement national et à l'alliance de gauche du Nouveau Front populaire, le chef de l'État se fait l'avocat de sa "troisième voie", distancée dans les sondages par ses adversaires.

"L'objectif ne peut être seulement de continuer ce qui a été fait. J'ai entendu que vous vouliez que cela change", avance Emmanuel Macron, appelant notamment à des "réponses beaucoup plus fortes et fermes" sur "l'insécurité, l'impunité".

"Le prochain gouvernement devra refonder la politique de l'enfance, protéger mieux nos jeunes et lutter plus fortement contre toutes les discriminations", plaide-t-il aussi en relevant la "demande forte de justice sociale".

macron promet "d'agir jusqu'en mai 2027"

Emmanuel Macron a promis ce dimanche "d'agir jusqu'en mai 2027", même si son camp se trouve en posture délicate à une semaine des législatives, admettant que "la manière de gouverner doit changer profondément" à l'issue du scrutin.

"Le gouvernement à venir, qui reflètera nécessairement votre vote, rassemblera, je le souhaite, les républicains de sensibilités diverses qui auront su par leur courage s'opposer aux extrêmes", a-t-il encore plaidé dans une lettre aux Français diffusée dans la presse.

Paris : 400 personnes à un rassemblement de chrétiens contre l'extrême droite

Environ 400 personnes se sont rassemblées ce dimanche devant les Invalides pour protester contre l'extrême droite, à l'appel d'un collectif de chrétiens mobilisés sur les questions sociales et écologiques, a constaté une journaliste de l'AFP.

Sur une scène dressée place Vauban, devant le dôme des Invalides, chants, prières et prises de paroles se sont succédé pendant deux heures, pour ce rassemblement organisé par le collectif "Justice et espérance".

"Le racisme, la détestation des croyants au prétexte de leur foi juive ou musulmane sont inacceptables pour nous chrétiens", a affirmé Emmanuelle Seyboldt, présidente de l'Église protestante unie de France.

Un rassemblement chrétien contre l'extrême droite le 23 juin 2024

Crédit Image : Zakaria ABDELKAFI / AFP

"Alertes féministes" contre l'extrême droite à Paris et ailleurs en France

"Alertes féministes contre l'extrême droite" : des dizaines de milliers de personnes, selon associations et syndicats, ont manifesté dimanche à Paris et en France pour dénoncer le "danger" pour les droits des femmes que représenterait une victoire du RN, à une semaine des législatives.

Dans la capitale, selon l'estimation des organisateurs, "75.000 personnes" ont défilé sous le soleil entre République et Nation à l'appel de plus de 200 associations (Fondation des femmes, Planning familial, #Noustoutes...), ONG (Oxfam, France Terre d’Asile...) et syndicats (CGT, CFDT...).

l'abattage rituel sera conservé en cas de victoire du RN, promet Chenu

Le député sortant et cadre du Rassemblement national Sébastien Chenu, a affirmé ce dimanche que "l'abattage sans étourdissement" pour produire de la viande halal ou casher resterait autorisé en cas d'arrivée du RN au pouvoir lors des prochaines législatives.

"On va réunir les cultes pour savoir s'ils sont prêts à faire des efforts. S'ils ne le sont pas, il y aura une exception", a déclaré l'ancien vice-président de l'Assemblée nationale au micro de Radio J. Un changement d'optique pour le RN, dont la cheffe de file Marine Le Pen a par le passé pris position contre l'abattage rituel sans étourdissement.

l'hypothèse de Jean-luc Mélenchon en premier ministre en cas de victoire du nouveau front populaire ? "c'est faux et insupportable", affirme fabien roussel

Le secrétaire national du PCF a déclaré ce dimanche qu'une éventuelle entrée à Matignon de Jean-Luc Mélenchon en cas de victoire de la gauche, hypothèse que le leader insoumis a lui-même remis sur la table, n'avait "jamais fait l'objet d'un accord du Nouveau Front populaire".

"L'idée d'une nomination au poste de Premier ministre de Jean-Luc Mélenchon, qu'il alimente lui-même, n'a jamais fait l'objet d'un accord entre les forces du front populaire. C'est faux et insupportable", a affirmé le député sortant du Nord dans un communiqué, 24 heures après que Jean-Luc Mélenchon a déclaré son "intention de gouverner ce pays".

"Je ne m'élimine pas et je ne m'impose pas. Je pense que c'est une formule qui est assez respectueuse du collectif", a également déclaré samedi l'Insoumis.

"la popularité n'est pas du côté qu'il croit", estime mélenchon à propos de Hollande

"Voici qu'aujourd'hui, c'est François Hollande qui me demande de me taire", s'est étonné Jean-Luc Mélenchon, en meeting à Montpellier ce dimanche. "Le popularité n'est pas du côté qu'il croit", a-t-il assuré.

"Si je suis là, dans le moment où je m'y trouve, c'est parce que pendant tout ce temps, je n'ai jamais cédé. Je ne renoncerai jamais à l'honneur d'être une cible, comme dit Cyrano de Bergerac", a encore affirmé l'Insoumis. Et d'ajouter : "Pour que pour que l'attaque touche, il faut qu'elle vienne du même niveau et ce n'est pas le cas".

hollande : "Mélenchon doit se mettre de côté"

"Veut-on faire gagner la gauche ou créer de la conflictualité ? S’il veut rendre service au nouveau Front Populaire, Jean-Luc Mélenchon doit se mettre de côté. Quand il y a autant de rejet, il faut avoir le sens de l’intérêt général", a déclaré François Hollande.

Scholz "préoccupé" par une éventuelle victoire de l'extrême droite en France

Le chancelier allemand Olaf Scholz s'est dit dimanche "préoccupé" par la perspective d'une victoire de l'extrême droite lors des élections législatives anticipées en France. "Je suis préoccupé par les élections en France", a déclaré M. Scholz à la chaîne publique ARD. "Et j'espère que les partis qui ne sont pas celui de (Marine) Le Pen, pour le dire ainsi, remporteront les élections. Mais c'est au peuple français de décider", a-t-il ajouté.

dati : "emmanuel macron a changé"

le point sur les différents programmes

RTL fait le point : pour le pouvoir d'achat le Nouveau Front populaire prévoit un blocage des prix pour les produits de première nécessité, pour l'alimentation ou encore le carburant, avec l'annulation de la hausse des prix du gaz. De son côté, le Rassemblement national mise sur une baisse de la TVA à 5,5% sur l'énergie.

Pour les salaires, l'alliance de gauche souhaite augmenter le SMIC à 1.600 euros net contre 1.398 actuellement. Le RN mise sur le volontariat des patrons, les inciter à faire grimper les salaires de 10%. Pour le parti présidentiel, pas de hausse de salaire mais une hausse de la prime Macron versée par les entreprises chaque année.

La suite ⤵

gabriel attal veut "une comparution immédiate pour les mineurs"

Le Premier ministre a affirmé qu'"il y a une forme de rajeunissement de la violence, parfois débridée chez les très jeunes". En vue des élections législatives, Gabriel Attal défend l'idée d'une "comparution immédiate pour les mineurs" : "Si vous avez deux jeunes de 17 et 18 ans qui sont pris dans un cambriolage en récidive, celui de 18 ans va pouvoir être sanctionné tout de suite, celui de 17 ans, ça va être 8 ou 9 mois plus tard, ce n'est plus possible." Gabriel Attal a également indiqué vouloir "atténuer l'excuse de minorité".

"un refus d'obstacle", gabriel attal tacle le choix de jordan bardella

Jordan Bardella a affirmé qu'il n'irai pas à Matignon s'il ne disposait pas de majorité absolue à l'Assemblée nationale. Et Gabriel Attal de lui répondre : "Il met des conditions suspensives pour aller Matignon. C'est précisément quand les situations sont difficiles qu'il faut y aller (...) C'est une forme de refus d'obstacle. Je crois que le Rassemblement national n'est pas prêt à gouverner."

"le péril qui est devant nous, c'est celui d'un carnage économique et social avec les extrêmes", selon gabriel attal

À une semaine du premier tour des élections législatives, Gabriel Attal s'en est pris au programme économique des extrêmes : "Le péril qui est devant nous, c'est celui d'un carnage économique et social avec des programmes de plusieurs milliards d'euros non financés, et donc qui se traduiraient par un matraquage fiscal d'un côté ou de l'autre, que ce soit extrême droite ou extrême gauche. Une broyeuse à classe moyenne."

"on est le bloc qui est le plus en dynamique", estime gabriel attal

Le Premier ministre, candidat aux élections législatives pour le camp présidentiel, a estimé qu'il y avait trois bloc qui s'affrontaient pour ce scrutin : un d'extrême droite, un autre d'extrême gauche et un au centre". Gabriel Attal a estime que ce "bloc du centre", donné troisième des sondages, est celui "qui est le plus dynamique", puisqu'il a pris "7 ou 8 points" entre les élections européennes et les intentions de vote pour les législatives.

Gabriel Attal est l'invité du grand jury sur RTL

une démission d'emmanuel macron serait-elle crédible ?

Marine Le Pen avait estimé qu'il ne restera à Emmanuel Macron que la démission pour sortir potentiellement d'une crise politique. Mais serait-ce crédible ? Il a à peine 10 jours dans une interview, Emmanuel Macron lui-même a exclu de démissionner, quel que soit le résultat. On pourrait rappeler qu'il avait exclu la dissolution de l'Assemblée juste avant les européennes...

Éclairage signé William Galibert pour RTL ⤵

Philippe Ballard était l'invité de RTL

Le député de l'Oise et porte-parole du Rassemblement national Philippe Ballard était l'invité de RTL. Il est revenu sur les chiffres de procuration effectuées et des projections de participation. "Emmanuel Macron fait confiance aux Français pour ce scrutin. Nous aussi nous faisons confiance aux Français pour ce scrutin, qu'ils se mobilisent en masse, ce qui semble bien parti, et puis qu'ils confirment le résultat du scrutin des élections européennes", dit-il.

Retrouvez son interview en intégralité ⤵

Philippe Poutou en campagne dans l'aude

Lui non plus ne "voulait pas débarquer comme ça" mais même parachuté, Philippe Poutou, figure du NPA investie par le Nouveau Front Populaire (NFP) dans l'Aude, entend mener le combat contre le député RN sortant, au grand dam d'une partie de la gauche locale.
Entre deux tracts distribués devant l'hôpital de Carcassonne, le triple candidat à la présidentielle concède qu'il "ne connaît pas la région" et qu'il aurait "préféré être candidat sur Bordeaux" où il est conseiller municipal, mais il se dit déterminé à "militer et empêcher l'extrême droite de passer".

mélenchon et bardella prêts à gouverner

Ce samedi, Jean-Luc Mélenchon s'est dit "bien évidemment" prêt à entrer à Matignon. De son côté, Jordan Bardella (Rassemblement national) a promis d'être le Premier ministre de "tous les Français".

Le rassemblement national en tête des sondages

Bonjour et bienvenue sur ce live. La course aux législatives se poursuit ce dimanche, une semaine jour pour jour avant le premier tour des élections.


Selon un sondage Elabe pour La Tribune et un autre de l'institut Ipsos pour Le Parisien et Radio France. Le Rassemblement national et ses alliés de droite obtiendraient entre 35,5 et 36 % des voix, devant le Nouveau Front populaire (27 à 29,5 %) et le camp présidentiel (19,5 à 20 %).

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