Invité ce lundi 10 février sur BFMTV et RMC, le député de Paris a tranché au sujet de l'ancien Président : "je n'ai aucun conflit avec Nicolas Sarkozy, simplement, je suis libre, je suis ma route"". "J'ai mis en oeuvre la politique qu'ensemble on avait définie, mais enfin qu'il conduisait", a ajouté l'ancien Premier ministre. "J'ai tiré les enseignements de cette période - et des périodes précédentes d'ailleurs - et je pense aujourd'hui que la France a besoin d'un vrai projet de rupture".
Nicolas Sarkozy avait été élu en 2007 sur ce thème de la rupture. "Je n'ai aucune animosité, il n'y a aucune compétition personnelle, c'est un problème politique, c'est un problème d'idées, c'est un problème de vision du redressement national", a-t-il insisté.
Doit-il rencontrer l'ancien chef de l’État ? "Ce sont des questions qui sont entre lui et moi", a-t-il tranché. Si l'ex chef de l'État devait se représenter en 2017, devrait-il passer par les primaires ? : "c'est mon avis, un mécanisme a été mis en place par notre famille politique". "Plus de démocratie, ce n'est jamais un défaut", a glissé François Fillon.
Cependant, en cas d'absence de ce processus, "c'est le premier tour de l'élection présidentielle dans la Vème République qui constitue la primaire". Les arguments avancés par Henri Guaino sur l'atout de légitimité d'un ex-président ? "En démocratie, il n'y a qu'une seule légitimité, c'est celle que donne le suffrage universel. Pour savoir quelle est la légitimité, il faut aller à l'élection".
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