Législatives 2022 : Le Pen entre en campagne et dénonce le "fou du roi" Mélenchon

C'est la fin de ce live. Merci de l'avoir suivi. 

"Manuel Valls, je m’en fous de lui, il m’empêche pas de dormir" a déclaré Jean-Luc Mélenchon dans l'émission "Questions politiques".

Investi cette semaine par la majorité présidentielle, Manuel Valls a regretté que Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon drainent autant d'électeurs derrière eux. Selon l'ancien Premier ministre, "la réponse est une majorité à l'Assemblée nationale, d'action pour le pouvoir d'achat, de respect de ceux qui ne se sentent pas considérés".

Sur LCI, Olivier Faure a vivement critiqué le président de la République : "J'ai voté au second tour pour Emmanuel Macron", toutefois "il y a plus de gens qui sont venus pour voter pour lui pour faire barrage à Marine Le Pen que par adhésion à son projet". Et d'ajouter : "Voilà un président qui n'a pas de vision". "Mon camp, c'est celui de ceux qui souffrent de la politique qui est conduite", a-t-il précisé.

Sur France 3, Richard Ferrand a taclé la volonté de Jean-Luc Mélenchon de devenir Premier ministre : "En voulant être élu Premier ministre, Jean-Luc Mélenchon invente le candidat unique. (..) Un député n'est pas seulement un homme ou une femme-sandwich avec un logo" a-t-il déclaré.

Sur le plateau du Grand Jury, le Premier secrétaire du PS, Olivier Faur,e a répondu aux critiques de François Hollande qui avait déploré l'accord entre son parti et les Insoumis : "Les déboires du PS ne datent pas de quelques jours, je me souviens d'un président qui n'a pas été candidat à sa succession, ce qui est inédit dans la Ve République".

Interrogé sur France Inter, Jean-Luc Mélenchon a laissé entendre qu'il ne se présenterait pas aux élections législatives : "La probabilité d'avoir une majorité semble s'améliorer pour moi, donc je me prépare plutôt à l'idée d'être Premier ministre qu'à l'idée d'être de nouveau député."

Sur France 3, Richard Ferrand a défendu la candidature de l'ancien Premier ministre : "Manuel Valls apporte son expérience, le fait qu'il a été Premier ministre, le fait qu'il a un point de vue éclairant sur les institutions".

Au micro de franceinfo le maire LR de Maux s'est prononcé en faveur d'un rapprochement avec la majorité présidentielle à l'issue des législatives : "Après les législatives, il faudra compter les rapports de force. Cela pourrait donner une dimension nouvelle si le président de la République renforçait son flanc droit."

Invité du Grand Jury,  Olivier Faure s'est encore une fois félicité de l'accord signé entre son parti et LFI, assurant que la gauche a "fait le choix de mettre (ses) égos de côtés".

La dirigeante du Rassemblement national a lancé ce matin sa campagne pour les législatives à Hénin-Beaumont dans le Pas-de-Calais, où elle est candidate à sa réélection, en ciblant Jean-Luc Mélenchon, qualifié de "fou du roi", pour avoir favorisé la réélection d'Emmanuel Macron.

Après les porte-drapeaux, Emmanuel Macron est allé saluer ses nombreux invités dans les tribunes.

Après la revue des troupes, Emmanuel Macron est allé raviver la flamme sur la tombe du Soldat inconnu, sous l'Arc de Triomphe. 

Comme il l'a fait la veille, à l'occasion de son investiture, Emmanuel Macron passe en revue les troupes autour de la place de l'Étoile.

Emmanuel Macron vient d'arriver à la place de l'Étoile où il a été accueilli par son Premier ministre, Jean Castex, la ministre des Armées, Florence Parly ainsi que la secrétaire d'État auprès de la ministre des Armées, Geneviève Darrieussecq. Une nouvelle Marseillaise est entonnée.

Escorté par la garde républicaine, le chef de l'État remonte les Champs-Élysées en voiture, en direction de la place de l'Étoile.

Après avoir tenu une minute de silence au pied de la statue du général de Gaulle, La Marseillaise a retenti. Emmanuel Macron salue désormais la famille du général.

Le chef de l'État est arrivé place Clémenceau, en bas des Champs-Elysées. Accompagné par son Premier ministre Jean Castex, il a déposé une gerbe de fleurs au pied de la statue du général de Gaulle.

Contrairement à la France, la Russie commémore la reddition de l'Allemagne nazie le 9 mai. En cause le décalage horaire, la Russie possède un fuseau horaire de différence avec nous et deux avec les Britanniques. 

La date du 9 mai est aujourd'hui très symbolique en Russie, notamment pour Vladimir Poutine qui, dans le contexte du conflit en Ukraine, souhaite marquer le coup.

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Guerre en Ukraine : la Russie prépare-t-elle aussi un défilé à Marioupol le 9 mai ?

À 30 minutes du début de la cérémonie, les président du Sénat et de l'Assemblée nationale sont arrivés au pied de l'Arc de Triomphe.

Le chef de l'État ne participera pas seul aux commémorations du 8 mai 1945. À ses côtés, on devra retrouver quelques membres du gouvernement, à savoir : son Premier ministre, Jean Castex, la ministre des Armées, Florence Parly ainsi que la secrétaire d'État auprès de la ministre des Armées, Geneviève Darrieussecq. 

Après la première partie des commémorations sur les Champs-Elysées, Emmanuel Macron doit se rendre sous l'Arc de Triomphe, en compagnie de la grande escorte de la Garde républicaine. Il en profitera pour passer en revue les troupes françaises, comme il l'a fait la veille à l'occasion de son investiture. Enfin, il ravivera la flamme sur la tombe du Soldat inconnu, au pied du monument.

Le président de la République commencera les commémorations du 8 mai 1945 en déposant une gerbe au pied de la statue du général de Gaulle sur la place Clémenceau, en bas des Champs-Elysées.

Une minute de silence sera ensuite tenue, après que la sonnerie aux morts aura retentie. Enfin, Emmanuel Macron doit saluer la famille du général De Gaulle. Il rejoindra ensuite l'Arc de Triomphe.