Sept mineurs avaient été placés en garde à vue après la découverte du corps d'un veilleur de nuit, tué à coups de couteau, dans un centre éducatif à Magnac-Laval (Haute-Vienne). Ils ont été relâchés dimanche 12 janvier.
Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime, âgée d'une soixantaine d'années, a été tuée de plusieurs coups de couteau. Le corps a été découvert dans la nuit de vendredi à samedi "dans une mare de sang". Les sept jeunes d'un Centre éducatif de formation (CEF), âgés de 13 à 16 ans, ont été placés en garde à vue "pour la nécessité de l'enquête" même si, à l'époque déjà, le procureur Michel Garrandaux assurait qu'il n'y avait "pas de lien probant" et que "toutes les pistes sont ouvertes", comme celle d'une "intrusion extérieure".
Au cours d'un bref point de presse, le procureur a indiqué "qu'aucune
charge n'avait été retenue contre eux" et que l'enquête se poursuivait.
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