- 01m20s
1 min de lecture
Andreas Von Knorre et Elton Hinz arrivant séparément au tribunal (archives).
Crédit : ROSLAN RAHMAN / AFP
Je m'abonne à la newsletter « Infos »
La justice de Singapour, cité-Etat connue pour sa législation sévère, a condamné jeudi deux jeunes Allemands à neuf mois de prison et trois coups de bâton pour avoir tagué une rame de métro en novembre dernier.
Andreas Von Knorre, 22 ans, et Elton Hinz, 21 ans, ont été condamnés après avoir été jugés coupables de vandalisme et effraction. Tous deux avaient demandé l'indulgence de la cour et qualifié leurs actes d'"erreur stupide".
Les deux hommes ont été condamnés à quatre mois de prison pour être entrés par effraction dans un dépôt du métro de Singapour et à cinq mois de prison et trois coups de bâton pour avoir vandalisé une rame avec une bombe de peinture.
Ils avaient pris la fuite de Singapour après les faits mais avaient été interpellés en Malaisie voisine d'où ils voulaient s'envoler vers l'Australie et avaient été extradés.
La répression locale du vandalisme avait choqué en 1994 quand un adolescent américain, Michael Fay, avait été frappé à coups de bâton pour avoir endommagé des voitures et des biens publics. En 2010, un expatrié suisse Olivier Fricker avait été condamné à sept mois de prison et trois coups de bâton pour avoir commis des actes de vandalisme à l'aide d'une bombe de peinture sur un train dans un dépôt de Singapour.
La pratique des coups de bâton est un héritage de l'époque où Singapour était une colonie de la couronne britannique.
Bienvenue sur RTL
Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur
Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.
Bienvenue sur RTL
Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio
Je crée mon compte