Camping-car : les pièges à éviter

Le cas de Marc

Le 5 octobre 2018, Marc signe un bon de commande dans un salon pour l’achat d’un camping-car neuf d’un montant de 68.080€ auprès d’un professionnel. Pour conclure l’opération, il règle 15.000€ d’acompte de sa poche et fait reprendre son ancien camping-car d’une valeur de 42.080€. A ce moment-là, la livraison est programmée le 25 mai 2019. Mais, neuf jours seulement avant l’échéance, le vendeur lui envoie un courrier pour lui faire part d’un retard dû à son fabricant. Il est compréhensif d’autant qu’une concession du groupe lui prête un véhicule pour ses vacances. Le 2 août, il reçoit même un mail pour lui préciser que son camping-car est à disposition du transporteur. Malheureusement, les semaines défilent de nouveau sans qu’il ne soit livré. Et, aujourd’hui, malgré une mise en demeure en date du 9 septembre, il n’a toujours aucun retour.

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