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VIDÉO - Philippe Caverivière : "Une des façons de retourner les gars dans l'espionnage, c'est le sexe..."
Jeudi 13 mars, Philippe Caverivière a effectué sa deuxième chronique face à Dimitri Milik, chercheur au centre Russie/Eurasie, pour évoquer les suspicions d'espionnage russe en France.
L'œil de Philippe Caverivière du 13 mars 2025
Crédit : RTL
13 mars, Philippe Caverivière est revenu sur l'intensification du conflit en Ukraine et les récentes prises de position de Vladimir Poutine, face à l'invité du jour, Dimitri Milik, chercheur au centre Russie/Eurasie. "Dimitri, vous êtes venu nous donner une fourchette quant aux dates auxquelles nous serons tous citoyens russes. En ce moment, en France, en plus, ça ne doit pas être simple de s'appeler Dimitri, parce que vous devez être la cible de regards soupçonneux", a lancé l'humoriste.
Avant de poursuivre : "C'est presque mieux de s'appeler Mohamed que Dimitri, alors qu'il n'est pas Russe du tout. Il est Serbe et Macédonien et il est Français surtout. En tout cas, c'est la première fois qu'on reçoit un espion du KGB ici. J'ai vu sur BFM, à 23 heures hier soir, c'était passionnant sur l'espionnage. Toutes les personnes qui sont dans les médias, nous tous, on peut être la cible, on peut être approché par le KGB, la CIA, la NSA, National Security Agency".
"Moi, je peux vous garantir que je n'ai jamais été approché pour faire intelligence avec l'ennemi, ni pour faire intelligence tout cours. Et une des façons d'approcher, de retourner les gars dans l'espionnage, c'est le sexe. Et c'est souvent le cas, car l'homme est laid !", a-t-il encore assuré.
