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JO 2024: large majorité au Conseil de Paris pour une candidature de Paris

REPLAY - Découvrez les sujets qui seront abordés dans l'émission "Les auditeurs ont la parole".

Jeux Olympiques
Crédit : AFP/J.Nackstrand
LES AUDITEURS ONT LA PAROLE DU 13/04/15
00:27:47
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JO 2024: large majorité au Conseil de Paris pour une candidature de Paris

Le Conseil de Paris a approuvé ce matin à une très grande majorité l'engagement de Paris dans une candidature pour l'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024, seuls les Verts et le  PG votant contre. 
   
"Nous voilà engagés dans l'aventure olympique!", a salué la maire de Paris Anne Hidalgo (PS), à qui il appartiendra désormais de cosigner entre les mois de juin et septembre l'acte officiel de candidature avec le Comité national olympique (CNOSF). 
   
Les élus des groupes PS, PCF, PRG, UMP, UDI-MoDem ont approuvé à main levée le voeu de la maire de Paris proposant que la Ville s'engage "pleinement" en faveur d'une candidature. 
   
Dans une atmosphère de "trêve politique", comme l'a souligné le président du groupe centriste Eric Azière, les élus ont dit leur souhait que ces JO soient un "projet fédérateur pour le Grand Paris", qu'ils permettent de répondre "aux fractures territoriales" de la métropole. 
   
A contre-courant, les Verts ont une nouvelle fois fait part de leurs "doutes". "La logique même des jeux Olympiques contemporains et du Comité international olympique, c'est l'inflation des dépenses et le +toujours plus",  a estimé son coprésident David Belliard, en rappelant que le coût des JO de Londres avait plus que doublé entre l'estimation initiale et la facture finale. 

Paris 2024 : Les Jeux olympiques en valent-ils la chandelle


Invités du débat de RTL MIDI : Thierry Braillard, Secrétaire d'Etat aux Sports et David Belliard, coprésident du Groupe écologiste de Paris.

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Le projet de loi sur le renseignement est-il liberticide ?

Dénoncé par des associations comme un texte liberticide et objet de réticences dans la sphère politique, le projet de loi destiné à renforcer les pouvoirs des services de renseignement à l'heure d'internet arrive aujourd'hui en débat à l'Assemblée nationale. 
   
Parmi ses points les plus sensibles: la large possibilité d'intercepter les téléphones portables et le contrôle de la "toile". Signe de l'importance que lui accorde l'exécutif, après les attentats meurtriers de janvier, Manuel Valls lui-même présente le projet dans l'après-midi dans l'hémicycle. Plusieurs associations appellent elles à manifester près de l'Assemblée à la mi-journée contre ce texte. 
   
Les débats s'achèveront jeudi mais le vote n'est prévu que le 5 mai après deux semaines de vacances parlementaires. 

Le projet définit les missions des services (intérieur, extérieur, militaire, douanier...), de "la prévention du terrorisme" à "la défense et la promotion des intérêts économiques, industriels et scientifiques majeurs de la France". 
   
Il énumère les techniques (écoutes, géolocalisation, pose de micros, caméras ou de logiciel-espion, accès aux données de connexion, etc.) pour surveiller la personne visée (voire son entourage) et leur régime d'autorisation (finalité, durée, conservation et destruction des données...) sous le contrôle d'une nouvelle autorité administrative indépendante. 

Le projet de loi sur le renseignement est-il liberticide ? La rédaction de RTL vous invite à voter et donner votre avis à la question du jour !

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Asile : la France "au bord de l'embolie" selon la Cour des comptes

La politique d'asile en France, dont le coût avoisine les 2 milliards d'euros par an, "est au bord de l'embolie" et n'est "pas soutenable à court terme", selon un document de la Cour des comptes révélé par Le Figaro. 
   
Ce document confidentiel est un "relevé d'observations provisoires", "une sorte de rapport d'étape", alors que débute mercredi l'examen par le commission des lois du Sénat d'un projet de loi réformant le droit d'asile. 
   
Selon ce document, "la politique d'asile est devenue la principale source d'arrivée d'immigrants clandestins en France". 
   
Le rapport pointe "une hausse de la demande d'asile jusqu'en 2013 pour atteindre 66.251 dossiers déposés", des "délais de procédure qui s'élèvent à deux ans environ" et "une concentration des demandes sur certains territoires, en particulier l'Ile-de-France". 
   
La Cour des comptes a procédé au calcul des "dépenses totales effectuées pour les demandeurs d'asile" et conclut à une hausse de 60% en cinq ans : "pour  les demandeurs d'asile, le coût global s'élèverait à 990 millions d'euros environ en 2013, contre 626 millions d'euros en 2009", soit un coût par demandeur de 13.724 euros. 
   
Pour les déboutés, le montant des dépenses "serait équivalent à celui consacré aux demandeurs d'asile", à savoir un milliard d'euros par an et un coût moyen par débouté "allant jusqu'à 5.528 euros". De ces calculs découle une  facture globale de 2 milliards d'euros par an. 

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