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Nicolas Sarkozy en garde à vue, une première pour un ex-chef de l'Etat

Découvrez les sujets qui seront abordés dans l'émission "Les auditeurs ont la parole".

Nicolas Sarkozy, le 18 juin 2014
Crédit : AFP
Les auditeurs ont la parole du 01/07/2014
00:30:27
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Nicolas Sarkozy en garde à vue, une première pour un ex-chef de l'Etat

 Nicolas Sarkozy a été placé en garde à vue ce matin à l'office anti-corruption de la PJ, une première pour un ancien chef de l'Etat, visé par une enquête ouverte notamment pour trafic d'influence présumé. 
L'ancien chef de l'Etat est arrivé peu avant 08H00 dans une voiture noire aux vitres teintées, qui s'est engouffrée sous les objectifs des caméras dans le parking de la direction centrale de la police judiciaire à Nanterre (DCPJ), dans la banlieue ouest de Paris, à quelques encablures de son ancien fief de Neuilly-sur-Seine. 
Cette garde à vue intervient au moment où les rumeurs sur la volonté de Nicolas Sarkozy de renouer avec la vie politique, et notamment de prendre à l'automne la tête de l'UMP, se font de plus en plus précises. 
L'avocat historique de Nicolas Sarkozy, Me Thierry Herzog, est, lui, en garde à vue depuis hier, ainsi que deux hauts magistrats, Gilbert Azibert et Patrick Sassoust. Les enquêteurs vont pouvoir confronter les versions des quatre hommes. 
Les enquêteurs cherchent à établir si l'ancien chef de l'Etat (2007-2012) a cherché à obtenir des informations auprès d'un magistrat de haut rang, Gilbert Azibert, sur une décision de justice le concernant, en échange de la promesse d'un poste de prestige à Monaco. 
Invités du débat de RTL Midi à 13h10 : Christophe REGNARD, Président de l'Union Syndicale des Magistrats et Sébastien Huyghe, délégué général de l'UMP et député UMP du Nord. 


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Mondial : la France et l'Allemagne se retrouvent en quarts

Quatre ans après la fameuse grève du bus de Knysna, l'équipe de France accède aux quarts de finale du Mondial-2014, où elle rencontrera l'Allemagne au Maracana à Rio le 4 juillet, de quoi réveiller les souvenirs de Séville en 1982.
Les Bleus, pour arriver au Top 8 mondial, sont passés des promesses aux actes, dans une victoire longue à se dessiner, face au Nigeria lundi à Brasilia  (2-0). L'Allemagne a eu elle du mal à se défaire de surprenants Algériens (2-1 a.p.).
Les Français peuvent dire merci à leur nouvelle star, Pogba, qui d'une tête a mis fin, à la 79e minute d'un match tendu, aux doutes des Bleus. Ensuite, en toute fin de match, sous la pression de Griezmann, le capitaine nigérian Yobo a marqué contre son camp. Le contrat est rempli pour Didier Deschamps, puisque le président de la Fédération française de foot, Noël Le Graët, avait fixé l'accession aux quarts de finale comme objectif. 

Les Bleus 2014 sont-ils aussi forts que ceux de 1998 ? La rédaction de RTL vous invite à voter et donner votre avis à la question du jour !

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La CEDH valide l'interdiction du voile intégral en France

La loi interdisant le voile islamique intégral en France n'est pas contraire aux droits de l'Homme et poursuit un objectif "légitime", a tranché mardi la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) en rejetant la requête d'une adepte de la burqa et du niqab.

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Dans un arrêt définitif, la Cour a souligné que "la préservation des conditions du +vivre ensemble+ était un objectif légitime" des autorités françaises, qui disposent à cet égard d'une "ample marge d'appréciation", et que par conséquent la loi votée fin 2010 en France n'était pas contraire à la convention européenne des droits de l'Homme.

La CEDH avait été saisie le jour de l'entrée en vigueur de cette loi en avril 2011 par une jeune femme qui se disait adepte aussi bien de la burqa - qui cache entièrement le corps, y compris les yeux derrière un tissu à mailles - que du niqab - qui couvre le visage pour n'en montrer que les yeux -.

La jeune femme de 24 ans, qui n'avait dévoilé que ses initiales (S.A.S), contestait cette loi qui stipule que "nul ne peut, dans l'espace public, porter  une tenue destinée à dissimuler son visage", sous peine de 150 euros d'amende et/ou d'un stage de citoyenneté, jugeant notamment qu'elle était contraire à la  liberté de religion.


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