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Crise porcine: reprise des cotations sur le marché breton, incertitude sur le prix

REPLAY - Découvrez les sujets qui seront abordés dans l'émission "Les auditeurs ont la parole".

Les producteurs de porcs face à la baisse des prix
LES AUDITEURS du 17/08/2015
00:45:22
LES AUDITEURS du 18/08/2015
00:44:28
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Porc : reprise des cotations sur le marché breton, incertitude sur le prix

Le marché du porc breton a rouvert aujourd'hui après plus d'une semaine de suspension de ses cotations, mais sans les acheteurs Cooperl et Bigard qui seront reçus aujourd'hui et demain par le ministre de l'Agriculture, faisant craindre une chute du prix sous l'objectif de 1,40 euro le kilo.


Vivement réclamée par des éleveurs qui peinent à gérer leurs stocks d'animaux invendus, la reprise des cotations s'est tenue à 11H00 au MPB (marché du porc breton) de Plérin (Côtes-d'Armor), qui ne représente que 15% des ventes  de porcs hebdomadaires mais fixe le prix de référence au niveau national.

Cette séance exceptionnelle -- habituellement, le marché ouvre le lundi et le jeudi -- a été annoncée hier par le président du MPB, Daniel Picart, à l'issue d'une réunion de crise au ministère de l'Agriculture alors que les cotations étaient suspendues depuis le 10 août.

Mais la reprise se fera sans Bigard et la coopérative Cooperl, qui représentent environ 30% des achats au MPB et dont l'absence avait entraîné la suspension des cotations la semaine passée. Ce qui fait craindre une baisse du prix de la viande porcine sous l'objectif de 1,40 euro le kilo.

Reste une inconnue: le prix, principal élément de discorde entre acteurs de la filière, Cooperl et Bigard refusant de payer le prix préconisé par le gouvernement pour les éleveurs, 1,40 euro le kilo. 
Invité de RTL MIDI : Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture

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Google a réduit de 35% ses impôts en France

Google qui est devenue la filiale d'une nouvelle entreprise baptisée Alphabet n'a payé qu'environ 5 millions d'euros d'impôts sur les bénéfices en 2014. Le géant américain a donc réussi à réduire de 35% l'impôt à verser en France, selon Le Figaro.

En 2013, la firme avait versé 7,7 millions d'euros et un an plus tôt, la somme s'élevait à 6,5 millions d'euros. Ces chiffres paraissent dérisoires au regard des 14,4 milliards de dollars de bénéfice net annuel engendrés par la compagnie. Son chiffre d'affaires a connu une hausse de 16% dans le monde. Cependant, en France, les revenus déclarés par l'entreprise ont diminué de 3%.
"Le moteur de recherche tire la quasi-totalité de ses revenus de la publicité en ligne. Il facture les annonceurs français depuis sa plateforme automatisée AdWords, en Irlande", rapporte le site. Ainsi, les recettes déclarées en France ne correspondent qu'à des "prestations de conseil (…) soit 216 millions d'euros en 2014". Cette somme représente en majorité les charges salaires et charges sociales.


Souvent critiqué pour ces montages financiers, Google se défend en précisant qu'il respecte les règles des pays dans lesquels il effectue des opérations. L'entreprise américaine se félicite même de sa participation "indirecte à l'économie du pays. Par diverses initiatives, Google s'implique pour la numérisation des entreprises en France et estime avoir un impact favorable sur leur activité", ajoute Le Figaro.

  Google ne paie pas ses impôts en France : êtes-vous prêt à le boycotter? La rédaction de RTL vous invite à voter et donner votre avis à la question du jour 
 

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Rentrée scolaire: hausse modérée des prix, tirés par les fournitures



Le coût moyen de la rentrée scolaire augmente faiblement cette année et atteint 190,42 euros pour un enfant entrant en sixième, l'augmentation du prix des fournitures étant partiellement compensée par la baisse des articles de sport, selon le baromètre de Familles de France.


Le montant moyen des dépenses, estimé à partir d'un panier moyen de 45 références, est en progression de 0,7% par rapport à l'an dernier, selon l'étude annuelle de l'association familiale publiée aujourd'hui.

La hausse est la plus forte pour les fournitures non papetières (+3,70%), dont le prix atteint 100,82 euros.
Les fournitures papetières et de classement (copies, feuilles de dessin, papier calque...) représentent un budget de 46,66 euros d'après l'étude, en hausse de 2,46% malgré le recul du coût de la pâte à papier constaté par l'association.

Le budget "article de sport" marque le pas (-7,32%) à 42,94 euros, après une forte hausse l'an dernier.
L'augmentation moyenne constatée par Familles de France est légèrement plus élevée que l'estimation du ministère de l'Education nationale, +0,1%, publiée hier.
 
Invité de RTL MIDI : Thierry Vidor, directeur général de Familles de France
 

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