Jean-Luc Mélenchon, à sa gauche, Emmanuel Macron à sa droite. Le Parti socialiste aura deux adversaires du même bord que lui à la prochaine élection présidentielle des 23 avril et 7 mai. S'il était en difficulté dans les sondages à la veille du premier tour, le candidat qui émergera de cette primaire de la gauche devrait-il se retirer ? Pragmatique, Benoît Hamon s'est engagé à discuter avec les deux candidats. "Je m'engage, si je suis choisi par les électeurs de gauche le 29 janvier, à faire en sorte que ce dialogue existe. S'il n'est pas conclusif, nous en prendrons acte, mais il doit exister."
Et de poursuivre : "La fatalité de la division, c'est la fatalité de la défaite (...) Je ne me résous pas à ce que demain nous ne cherchions pas à discuter avec nos partenaires pour envisager des candidatures rassemblées au premier tour de l'élection présidentielle. Oui à la discussion. Cette discussion aura d'autant plus de force que les électeurs à la primaire nous donneront cette force." Benoît Hamon partage ainsi l'analyse de son allié du quinquennat : Arnaud Montebourg.
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