Ils s’étaient quittés fâchés... les voilà réconciliés. Confidences signées Jean Marie Le Pen lui-même, dans Paris Match. Un Le Pen fatigué et amaigri, mais soulagé d'être rentré chez lui après 11 jours d'hospitalisation.
"La carcasse a tenu bon, le bonhomme n'est pas encore mort", lance-t-il. Soulagé aussi car il a revu Marine et ça n'était pas arrivé depuis 2016. Elle est venue lui rendre visite la semaine dernière à l'hôpital. "J’ai été heureux de sa venue", confie-t-il, "malgré nos différents, elle reste ma fille. Nous avons passé un moment plaisant, je l'ai même trouvée en beauté". Elle est venue avec ses deux filles et Nolwenn, la fille de Marie-Caroline dont Jean-Marie Le Pen refusait de prononcer le prénom, avec laquelle il est fâché depuis 20 ans. Désormais, il espère bien la voir dimanche 1er juillet, lors de la grande fête qu’il organise pour ses 90 ans.
"Que voulez-vous je suis à l’âge des indulgences, j'ai le sentiment de la fuite du temps, avant, j'avais un personnage à défendre, je m'interdisais de baisser la garde. Je rame contre le courant aujourd'hui mais je sais qu'il finira par m’entraîner vers les rapides", confie-t-il.
Cette crise tient justement, elle fait ce matin la Une de la plupart de vos quotidiens. Avec le début aujourd'hui du sommet européen à Bruxelles. "Sommet de la honte", titre L'humanité.
La Croix lance un appel à la cohésion : "L’Europe à l'épreuve", titre le journal. On ferme ! En Une de Libération avec la photo d'un migrant qui tente d'escalader par la mer un grillage pour rejoindre un ferry vers Athènes. C'était sur l’île de Lesbos le 4 mars dernier. Parmi ceux qui ont le plus à perdre, politiquement en tout cas dans ce débat, il y a Angela Merkel rappelle Patrick Chabanet dans le journal de la Haute-Marne. "Décidément ironise l’éditorialiste, outre Rhin il n'y a pas que le ballon qui ne tourne pas rond". Allusion à la l'élimination cinglante de l'Allemagne de la Coupe du Monde.
"La Bérézina", titre L'Équipe. L'Allemagne est éliminée de la Coupe du Monde après une défaite 2-0 contre la Corée du Sud. Et la presse allemande elle se déchaîne. "Pas de mot" titre Bild, le quotidien, qui est l'un des plus vendus en Allemagne. Le même titre exactement qu'en 2014 après la claque infligée au Brésil. "K.O, une défaite historique", c'est la une du Der Spiegel. "Une honte historique", renchérit de son coté Die Welt.
Dans L'Équipe, des entreprises tricolores se réjouissent du Mondial qui leur permet de faire des affaires. Notamment avec cette société d'Anjou qui a fourni les gazons. 8 ans que ça dure, DLF a déjà participé à 3 Coupes du Monde. Il y a aussi les bancs de touches made in Normandie. Metalu Plast, une PME installée à Soliers a fourni les bancs de plusieurs stades, les sièges baqués protégés par un toit en plexiglas.
Autre tricolore ravi : Taittinger, champagne officiel de la coupe du monde. "La Russie, rappelle la directrice marketing du groupe est historiquement l'un des premiers marché export pour la champagne".
Bienvenue sur RTL
Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur
Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.
Bienvenue sur RTL
Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio
Je crée mon compte