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Édouard Philippe premier ministre : quand il critiquait Emmanuel Macron

À 14h55, lundi 15 mai, le député-maire LR du Havre a été officiellement annoncé comme étant le nouveau locataire de Matignon. Il n'a pourtant pas toujours été très tendre avec son nouveau patron.

Edouard Philippe écoute Emmanuel Macron lors d'un discours en février 2016
Crédit : SEBASTIEN SALOM-GOMIS/SIPA
Cécile De Sèze
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Édouard Philippe est le nouveau premier ministre de la France. Après des heures d'attente, il a finalement été annoncé depuis la cours de Matignon vers 14h55, lundi 15 mai. Ce n'est pas tellement une surprise puisque son nom circulait depuis quelques jours. Il y avait une forte probabilité pour qu'il devienne le prochain chef du gouvernement.

Toutefois, le juppéiste n'a pas toujours eu des mots tendres pour parler de son nouveau patron. Loin de là. Pendant la campagne, il a tenu un blog dans les pages du journal Libération. Une chronique en particulier, intitulée "En latin, on dit 'ambulans'", a particulièrement fait parler d'elle. Le député-maire du Havre y parle du candidat d'"En Marche !" en des termes peu élogieux.

Banquier technocrate, praticien, conquérant juvénile...

Édouard Philippe

Il commence par le comparer au "fils naturel de Kennedy et de Mendès France", avant "d'en douter" car "le premier avait plus de charisme, le second plus de principes". Le ton est donné. Puis suivent des caractéristiques peu élogieuses à l'égard du futur président de la République et ancien ministre de François Hollande. Édouard Philippe enchaîne en le qualifiant de "banquier technocrate", "praticien" qui "n'assume rien mais promet tout" ou encore "conquérant juvénile" et "vieux routier". 

Au fil des semaines, son ton s'adoucit après cette publication, jusqu'au soutien "sans hésiter" à Emmanuel Macron face à Marine Le Pen. En mai, pendant l'entre-deux-tours, il confiait par ailleurs au Point qu'il souhaitait "aider Macron à gagner".

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Il avait par ailleurs salué le "sens de l'État" de Bernard Cazeneuve, le 6 décembre dernier, qui quittait alors le ministère de l'Intérieur pour Matignon. En revanche, il était bien moqueur envers son prédécesseur Manuel Valls en juin dernier, en ironisant sur l'un de ses discours à l'Assemblée nationale.

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